Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • de la frontière fussent renforcées, ne qu’il y eust aucunes garnisons de

    Pour ne nous laisser surprendre, faictes que ayons

    mieux et moing prisonière, que la royne d’Angleterre luy promet des montagnes

    Ilz disent encor qu’il y a ung très mauvais menage

    parti pour aller en Lorraine à cest effect.

    Je supplie les bonnes grâces de madame et de messieurs d’Evènes et de Laval, de recevoyr mes très humbles recommandations.

    luy.

    plus longue, je la finiray par mes très humbles

    d’Ourche vous yra trouver, de quoy elle a bonne

    ledit seigneur marquis. L’armée des Vénitiens est à Corfou attendant Don Jehan d’Austria

    encaure ceste, conbien que je croit que la savez, que le Gua

    dudit Bonaventure à Grenoble et luy dist en pleine rue que s’il eust

    à de montaignars.

    envoyé du Daulphiné. Hyer ilz le vindrent trouver

    d’icelluy je le vous envoieray et en feray

    promesse de vous faire paroistre leur bonne volonté, la

    que dans la cour de parlement. Monsieur, si vous

    aulx soldatz, il y en ha tant icy ou aulx environs que je ne cuyde pas, s’il

    advisé que je nen lestime en avoir besoing. Il na besoing

    Cest de monsieur de La Trimoule].

    faict malvays donner liberté à foulz et enfens

    si je le trouve enquores à la court, je luy diray

    de ceulx de la religion, comme elle a esté accordée

    falir de mon costé de ce que je pourray,

    de sufizantes informations pour mener ledit Guascon

    Sy cela est, l’on ne fera rien de cest iver.

    affectionné serviteur

    raisons ny argumentz bons et probables, sinon pour la partie

    Je ne doubte pas que lons ne tache de saider de

    de Chapponay

    [183] à la St Michel dernier. De ceulx de La Cailhe,

    nepveu en ceste ville, me samble n’en seroit que bon ;

    commandements avant que partir.

    de Dieu l’issue vous sera aussi honorable et advantageuse que le

    le tout passe. Je vous supplie très humblement

    ladite religion de telle façon et qu’ilz ayent leurs chefz, leurs

    De mon voyage de Lyon jay à faire à femmes,

    graces soit bonnes. Et ma fille ma escript quelle ha de

    Votre très humble

    pour sa retrete et non suspectes, mesmes

    envoié dune comtesse d’Alemagne à quy si devant

    p[barré : our]ar moy. Je nay rien moins an opinion que de

    Anthoine Collonne feist mettre en batailhe son armée,

    Votre très humble allié et serviteur

    m’a dit que pour certain on la tint vraye à Rome plus de quatre

    Votre très humble et obeissant

    afesionné serviteur

    votre plus affetioné

    vat du per avec monsieur de Saincte-Foy qu’est estimé le plus grant teologien et le plus digne precheur

    descouvrirent au-dessoubz de votre garde robbe nefve sept hommes,

    porteray son proces à Grenoble à messieurs les gentz du roy,

    et puysque les choses alloint ainsi, qu’il seroit peut-estre

    semble seroyt propisse pour regarder sur toutz voz affaires, et que je

    tenir tousjours au nombre de voz tres humbles et tres obeyssans serviteurs, qui

    de soldatz, le nombre des cathollizés ou à catholizer est de

    que l’an dire gare. S’il est aynsi qu’il soyt retiré de rechef

    St Andre et mondit fils prendront en ceste se leur plaist

    mains ung mois que s’il l’atandoit ung jour. J’ay

    m’asseure que vous y employerés de telle volonté que je suys

    païs de vous envoyer cest home exprès.

    de prier Dieu pour votre prosperité, comme faiz

    comme ilz font. Ilz y preschent d’ordinaire en sept

    parolles, combien qu’il le nye à présent comme dict est, dequoy je ne

    travalhe le plus. Si les ungns et les autres

    pas plaisir. Jespère quil le [barré crien] prendront mieulx de moy que dung

    faire paié della et m’ayant samblé que l’estoit autant

    heureuse vie. De Paris, ce XXIIIe novembre 1572.

    De Simienne

    [v] de . Par deça l’on m’a dict que monsieur de Sault

    faire le mauvais et s’excusoit fort des articles

    Voz très humbles et très obéyssantz serviteurs

    bone grâce, je prie le Créateur qu’il vous done,

    havoyt de feu monsieur le comte. Je vous prye me faire entendre

    deuxieme décembre 1572.

    maulvais temps l’aura arresté en quelque lieu,

    en celle despense. J’ay parlé à mondit seigneur de Nevers

    Je panse ne me ferés se tort de

    les ai préveu et vois ordinèrement, mais pour cella,

    vous et plusieurz mes proches parans ne soyés grandemant

    grand moien de s’i acheminer, toutefois l’ons parle

    ceste volunté qu’il a de retorner de par deça et de

    Votre bien humble et affectionné

    Veu toutes lectres de ces comptes qui monte plus de deux cens trante mil

    Je n’escripray rien pour cest heure à monsieur de La Roche,

    de le nouvele oppinion pour prendre ajuration de luy et se catholiser et

    Le passaige desdits Corsses.

    lettres à la court que de leur parler, prier et protester

    anvyron cent soixante livres, y conprenant la contre souche

    toiles ne chargassent ledit Chélègue. Je ne suis

    chambre. Le sieur de Mauvissière est de retour d’Angleterre

    seront asseurés de la résolution des secours estrangers et qu’ils

    touttesfois, vous luy en pourrés aussi escrire car peut-estre

    et seray bien marri si n’en puis avoir le moien pour luy

    bien le loysir de my randre à temps et à heure. Nayant aultre chose pour astheure ?

    Argond. Et surce, attendant vos commandements,

    monseigneur, vous donner très longue et heureuse vie.

    quarante et cinquante et après qu’il[s] ont faict

    Il est vray monseigneur quy depuis troys jours j’ay receu

    Vostre mère

    se seroit le meilleur. Qui est tout ce que je vous peux mander

    passee à Enconne. Je masseure quilz auront ce joudhuy gaigné Avignon.

    Votre bien humble et affectionné

    esperer briefve issue de ce siège quoy qu’il nous couste.

    Nieul près la Rochelle, ce XXI febvrier.

    siège où nous ne recepvons point enquores

    pour, sil vous plaist, comander quon rende ung pacquet à monsieur

    fournir despuis mon partement cent livres de la pancion

    Jay adverty les chevaulx legiers du seigneur

    vous plaira me honnorer de voz commandementz, daussi

    qui ne sont encores catolisés le[s]quelz

    d’Angleterre et d’Allemagne de mesmes que on la entendu dallieurs.

    advertir votre seigneurie. Ceulx qui sont catholizés

    des Adrés sep decleré pour eux

    ne scauroit faire avec [barré : plusieurs] beaucoup plus grand nombre.

    monsieur La Roche, lequel desire comme il m’escript

    puis que on ne peut de moins patience, comme vous dictes, [nisi domus]. Pour le regard du

    les postes on mette dessus l’heure de la reception on pourra cognoystre

    tousiours plus obligez à vous fere très humble service

    estremement

    puys que je n’ay aulcung comandement de vous [mots barrés] et aussy que la

    du XVIe du passé. Je ne scay quelle response vous

    monsieur de Gordes en bonne santé, longue et heureuse vie. Du camp de

    monseigneur vous donner en très bonne sancté et longue vie, accomplissement

    compagnie descend là bas devers mondit seigneur le mareschal sil vous plairra

    vous a pleu me fayre part. Estant asseuré que de celes du Langue

    monsieur le viccayre sans quil en face poinct

    une des quatre compagnies qui est allée en Languedoc; et sestant presenté occasion

    [64 v°] remercier très humblement votre magesté de leconomat

    et fondé comme il fault. Quand l’estat de mes affaires de dela et loccasion

    faire consideration au contenu dicelle et my vouloir ayder et souvent sellon

    [barré : reschal de Dampville, il sen ala dans Privas cheux son beau père]

    avecques IIIc chevaulx // [marge gauche : // bons ou mauvays] et bien Vc harquebusiers, où je

    moyen pour la monstre de la compagnie de monsieur de Nemours et la mienne,

    estatz escriront et produiront plus à plain par devers leurs

    nuit, lyssue du chasteau et la haulteur des bledz et le païs

    De neufville secretaire

    humblement y vouloyr pourveoyr [barré : à la]. Je vous envoye

    insolences qui règnent, parquoy je vous prie sur tout que desirez me

    règnent. Par quoy je vous prye, sur tout que desirez me contenter, de les faire

    à tel estat que sans la vante de

    commandemens dautre que de vous. Mondit sieur le conte faict bien tout ce quil peut

    dudit feu Guilhaume de Chaste tant que besoing

    Et affin de pourveoyr à se que sera de besoing, tant en ledite ville d’Avignon

    Marche et Fienssaye : VIm pains VI p. v.

    massacrés silz se trovent en lieu au quel Dieu ny

    venir, quil vous playse me fère antandre si je puis fère

    de nous fornir de bledz et [barré : aude] aultres

    le deffault et reffus faict par André Alanson, dudit lieu, disens

    et fère entendre come je suis encores dobtenir ayant esteés ces lettres

    personnages pour faire ce reiglement sans vous conformer aux expeditions

    jamays creu de

    à vous faire service

    Votre très humble et hobeissant serviteur

    lon doubte estre grosse et ne la ausé mettre en chemin ny la laisser.

    à Beaucayre. Maintenant je suis de retour en ce lyeu, Dieu mercy,

    Monsieur, vous ne trouverés sil vous plait mauvais que

    mais voz lettres sont en Daulphiné où, partant de Paris au

    chargées de souldartz et de munitions quy prenoict la route

    de change pour Naples, parce que lon ne peut

    quil fauldra davantage, je nachepterey

    la piece.

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    devoyent aller [barré : aux] à daultres princes estoyent pour

    Grenoble, ce XXVIIIe jour de septembre

    et les soldatz qui sont à leurs maisons en deslogent

    Il semble que lon crainct quelque nouvelle elevation et troubles ès provinces de

    lons vouloyt quil prestat seiement et y entrat [p..]

    que sont encores icy à honneste pris sellon lannée ; daultres

    duc d’Alve eust peu accorder avec le prince d’Aurenge, on eust peu faire verser

    monsieur levesque de Paris sémeut aucunement comme ne le trouvant

    estoit sus le bureau, et à larrivée de monsieur le president de Portes,

    Votre très humble et obéissant serviteur

    ilz iront audit Genève pour le faict de laliance, ilz y

    receu la lettre que monsieur d’Evènes dit mavoyr escrit du XVIIIe du passé. Jay veu la responce du sieur de

    Bourgel

    logé où estoyt monsieur de Marcieu et la damoyselle

    dautant que monsieur de Sauve a esté absent [s ??]

    jusques à present. Mais la petite prinse quavons

    et votre, avec deliberation de nespargner

    ce Ve febvrier 1574.

    pour aller en Flandres ne nous en face escanter

    excuses.

    monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye. De

    vie. De Gap, ce VIIIe febvrier.

    se huitiesme febvrier.

    [149] estoyt jà dedans par le moien dudit Achard et dung

    responce de vous qui me faict supplier le Createur

    serviteur

    plus desés, mais y arrivant et voyant le cours et

    Grane, ce Xe de fevrier 1574.

    Grane, ce Xe de fevrier 1574.

    sur tout es endroicts où il les eust fallu

    Dieu aidant, mais aussi esse tout ce que je puis faire. Il vous dira

    la retrancher à cent hommes, sil vous pleisoit comander à

    Très humble service

    fiebvre continue despuis remise à double

    du tout à vos depans an sette vile.

    bon sens [sans] les en

    [219] Ce jourdhuy, Bonvert ma monstré une lettre que vous luy escripvés

    lesdits prisonniers, m’a monstré ung decharge qu’il a dudit Labarre de

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    ce moyen de nos soldatz pour le conte d’Alleyrac et entredemmont ou ceus de Dieulefit et Poyet de Laval sest entendent ourdinayrement. May si leurs cavallerye vient du cousté de Taulignan ou de Dieulefit,

    notaire pour sen servir en temps et

    jen suyvrey.

    serviteur De Malloc

    Labé de Gadagne part dans deux jours pour Pologne.

    pièce ni poudre pour ataquer ung coulombier ! Je me

    la comtesse me prie vous beiser de sa part humblement

    je finerey ma letre par mes très humbles et affectionées

    pas reysonnable

    vie. De Guilhestre, ce XXVe febvrier 1574.

    pour asteure, vous beysent les meyns très humblement,

    guerre extraordinaire en icelles, sinon que à l’occasion de

    bientost de voz nouvelles.

    d’or. Je laisseray l’Escosse pour vous dire que la royne, mère du roy, ha esté

    entres le duc d’Albe et celuy de Medina et que

    Ce iourd’huy, les deffences ont esté publiées de ne sortir

    Mon seigneur de Longueville est en son gouvernement, lequel est avec luy vint et huit compaignies de gendarmes.

    recommandacions à votre bonne grâce et à cele de madame

    envye. Monsieur, quant il vous plaira que

    qui est à Messine d’où il ne veult bouger jusques à ce qu’il entende quel ply prendront

    [barré : 3 mots] ha hu parolles avec monsieur de Merul et

    sceu qu’il fust venu pour ceste affaire, luy eust baillé des escrimières

    Faut que je vous dye

    en son lougis et luy ont promis de le luy faire voir. Je n’en ay

    comme il vous plaira ordonner, estant prest

    bonne occasion que s’en présentoit. Sur quoy la royne

    n’avez quelque autre en affection, je vous supplie leur

    fault partir, qu’il s’en puysse embarquer la moytié, encores que monsieur

    de pouvoir que destre aveques des grands personnages car il scaura bien

    car il en abusent comme je faictz d’antretenir

    que ce bruit là est venu à mes oreilhes et aux

    ses jours passés à ceulx de Languedoc, revoquant

    vous priant par mesmes moien menvoyer

    à la question, quy seroyt ung grant bien pour

    Bellievre

    à laquelle vous vous estes très sagement resolu ; l’autre

    monseigneur de Montmorency à lencontre de vous, mais je

    point de nouvelles. Avec dificulté

    et en recepvant cella, je ne larrai à l’advenir,

    fust à l’autre foys, et sera encor peut-estre cause que toutes

    m’en vouloyr fère raison et justice. Je ne

    colonnelz et leurs Grandz separés de ceulx qui commandent

    cest à dire à ma fille de Montavil qui

    celles de monsieur d’Hourches du XIXe du passé

    Serviteur

    Ranboulhet, Conpenière qui est à monsieur de Londricourt

    le duc d’Albe a fait trancher la teste à

    crère le sieur de Talhades en ce fait, si mon

    de laquelle il feist trois esquadrons. Lochielly fist

    G davanson A d’Ambrun.

    jours, et puys l’on a treuvé que ce feust ung auteur qui

    serviteur

    des Adrés

    et obeissant Suze

    de France. Dieu veuille que la bonne doctrine dudit Pichot les fasse vivre en gens de bien ; lequel

    desquelz les six portoient arquebuzes et le septiesme une

    pour en après le faire vuyder diffinitivement. Pour le

    meileur de les y retenir et asseurer par art et quelzques

    m’en enquestasse de mon nepveu, monsieur l’escuyer de La Coste,

    pour votre service employera à jamais corps et biens d’aultant bon ceur que je

    plus de quatre centz, et presque toutz bons traystes, oultre

    à Chevrières, je tacheray le fère revenir deçà et sonder

    [v] mes humbles et plus affectionnées recommandations a leur bonne grace.

    parlé de votre congé mais l’ons me l’a mis bien

    affectioné à vostre service ; que me fera finir ceste ci, supliant

    Après ce que dessus escript, j’ay receu une aultre letre du XIIe

    d’aussi bon cueur

    ou huict villaiges et ont plusieurs ministres, la pluspart

    voldrois estre colpable, plustost perdre la vye, ne d’avoir

    trouvoynt quelque seur moien d’assurer leur fait,

    aultre [barré : encore que]. Je ne leur voudroys nulement desplayre. Si daventure

    en comodité pour tous. J’atans jour pour jour courier

    Votre très humble serviteur

    venoit dans deus jours à Lurmarin où les contes de monsieur

    présantés contre vous.

    Pierre du Montguers, ancien advocat,

    Monseigneur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse

    de votre volanté. Vous avyés escript à Jehan de Cosme qu’il fist faire deux bastz,

    Vous humblez et hobéissentz serviteurs

    vous suppliant que je demeure à vostre bonne

    de ceulx de Pragela, et au paravant au contreroleur

    me mené parsonne que ne

    avec l’aide de mon Dieu, ie ne lerrai ma

    en peine par ma personne et mes biens, mais aussi je ne

    de séjourner à Orléans, Blois et autres lieux

    luy faire plus service et c’est chose que n’en importe

    à vous faire service

    Frans, nous sommes sur lissue sans laquele il i aura de la besongne. Il vous playra

    n’ayant à lui dire, sinon que je ne reçois rien de ses

    mander tous ceux que refuseront à ce fère. Je suys seur que noz estatz

    si fort et si souvent, mais il faut supporter

    de taffetas vert. Monsieur d’Eveynes nous a proveu

    pas d’advis de demander seulement les quatre mois

    où il dict qu’il y [a] grand nombre de François retirés,

    les treuveront prêts et debout, ils se doivent élever et se saysir en chacune

    leur partement prendra encor longueur. Je vous puis asseurer

    en parler ausy avant le partement. Monsieur de Sauve

    merite vous escrire, je salueray voz bonnes graces par mes très humbles recommandations.

    monseigneur, je supplieray le Createur vous donner en prosperité

    De Paris, ce XIIe [barré : d] Janvier 1573

    cella les huguenotz il reviegnent qui emportent

    lettres de sa magesté pour les envoyer toutes quatres en

    Pierre de Pontevès

    en ceste endroict, me recommandant bien affectueusement et

    Vostre très humble très hobeyssant filz et

    serviteur

    Il [barré : en] sort tousiours quelqung de la vile pour prendre le

    Nous nescripvons pour ce coup en Provence, n’en ayant autre

    les incommodités que nous nous prometons. Le

    d’Anières mon filhs, que mon frère monsieur le conseiller luy adresse pour

    de monsieur de La Roche mon frère, et cent pour monsieur

    Centurion lesquelz les vont veoir tous les

    bonne vollunté m’y employerey, comme sallue vos bonnes

    ne sont receuz à la garde qui se tiennent

    Voilà ce que jay aprins de luy ceux qui viennent de Mascon

    m’ont prié de leur voloyr permettre de achepter des armes

    et qu’il l’ameyne quelque forse,

    Ce ne sera pas que ie n’en dye quelque chose à la

    bien tost la response. Je vous envoye ungne lettre de

    seigneur de Cugi je croy que raisons ne luy defandront. Et si je scay d’ailleurs ^ [^ qu’ean le roy], fait recherche telles gens pour soustraire à ses ennmis tous les moyens ^ [^ dont] il se peut adviser, mais chacun ne

    d’où vient la faulte. Soubdein j’ay despeché à monsieur de Mandelot

    [brouillon de la réponse de M. de Gordes en marge du folio 254]

    et sera d’aussi bon cueur que je pris le Createur

    Votre très humble et

    vostre n’arrestera à venir suyvant ce que m’escripvés. Je vous

    auriez heu de monsieur le mareschal de Dampville

    Sommières, ce XIIe mars 1573.

    de voz bons desirs. De Valance, ce XIIe mars 1573.

    l’employer pour le secours de monsieur de Louzières. Plait à Dieu

    doc vous en estes adverti à toute heure, je ne vous feray ceste plus

    de bruict, de mettre en escript sy ceulx qui

    de lemployer à cause de la surprinse du Pousin, je suys esté très ayse quil

    quil vous a pleu maccorder, je ne le veulx pour en frustrer

    requerront que menvoyez ung gentilhomme ou aultre expres edt en diligence je y feray

    que vous congnoistrez votre service le requiert.

    Monseigneur de nadiouster poynt foy à ses paroles et aussy de

    macheminoys, mays ilz sen sont eslngnés. Je ne puis

    ayant esgard au long temps quelle nen a point faicte.

    commissaires lesquelz, après avoir esté bien instruictz, je massure

    qui est fort mal aysé, luy servirent bien. Le reste fut le

    la responce du chappitre de Die.

    contanter de le faire garder comme il appartient de mode, que me reposant

    garder comme il appartient, de mode que, me reposant sur vous de ce

    leurs biens et aultres intollerables

    pour nous donner contentement, mais il nous senble soubz correction encore quil ait ung

    seroit et le joigniés à icellui procès et

    que aultres villes et ez lieux dudit Comtatz pour le faict des armes

    Montmaran : IIm pains II p. v. – f : IIm Vc pains II p. vin

    aura proveu de gouverneurs saiges et gens de bien

    faulte de prandre les contribussions, atandu que mondit

    advivres pour argent pour ladvituelhement

    quilz ne pensent [barré : en] avoyr en rien failly ; dequoy ledit

    prinses en chemin quil escrivoyt en ma faveur, aussi de

    qu’on pourra prendre pardeça, car tous piedz ne se chaussent à une

    ceulx qui ne le

    Ane maugeron

    Jehan de Chaste

    avec la mesme bonne volunté que jay tousiours eue de vous faire

    je adiouste ici mes très humbles recoumandations

    moys d’avril dernier, ie fey pourter mes coffres. Estant

    de Quandye, de façon quilz sont maitres de la mair. Les

    recouvrer escus en ceste ville. Je menageray

    samedy prochein que sera jour de

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    chalhol

    tenter de remuer quelque chose, car vous avés ouy dire

    1571.

    après y avoir esté et seiourné tant de temps quilz

    pardeça ; ce seroit pour eslonguer lordre que le roy promect donner aux affaires

    fois + [+ marge gauche : seulement]. Enfin, je pance que tout saccomodera et

    rafrechissemens ilz nen porront quères avoir de leurs personnes ;

    celle charge sur nous et appellent cela nous renvoyer la paume. Toutesfoys

    bon et pense que quelquun a donné advis à messieurs des comptes de Paris

    que sera demain comme on m’a dict, jestime quil se pourra vuyder, non

    à jamays

    puissent fère dire messe. Si ledit sieur president est de

    Monbrun, aussi impertinente que les siennes aultres precedantes. Je salue voz bonnes graces par mes

    vis-àvis chez le secretaire Rossignol, nayant que la

    quatre jours. Au premmier jour, jespère recouvrer les [dites]

    heu en ce pays et lennemy que me tient Laborel,

    nos personnes, ne biens, aydant le Createur,

    Votre très humble et très hobeissant serviteur à vous faire très humble [service]

    quelques ungz, ce que se reviendra dung aultre

    [suite dans la marge gauche, en travers :]

    Grenoble, le VIIIme de febvrier 1574.

    Vos très humbles et très obeyssants

    Votre très humble et affectionné

    capporal , et estant adverty ledit La Balme que Curebource

    vous donner

    Balthazar eme

    marche, lons change bien dopinion et massure qu’on

    Votre très humble serviteur

    Votre très humble serviteur

    mener.

    aussi comment nous en sommes en ses cartiers en matière des troubles

    messire Loys Scoffier qui a receu yer largent du magasin

    Jdecomborcier

    tierce et à present à tierce, tellement

    Voustre très humble et plus

    avoyr reserchés,

    touchant ung soldal nomé Labarre, lequel ayant passé par ce

    toutes ses hardes. Ladite sentence a esté baillée avec nombre d’assesseurs en

    Duvant.

    [244] à la terre en senfournant en ceste playne, ilz y feront des butins inestimables et de grandissime impour-tance

    lieu, lesquelles luy ay octroyées. Faict

    Par commandemant de

    comme jescripvoys ceste lettre, lon ma mandé

    Par luy, jescripray à mon nepveu. Tous ceulx qui viennent

    suis opiniastré sur cella, ayant monsieur de Chatellard,

    les meins, et à monsieur de Rousset, et monsieur

    recommandations à vostre bonne grasse, priant Dieu,

    Votre très humble et très obeyssant

    que je me departe

    Votre très humble serviteur

    priant Dyeu que vous doynt

    certains bandatiers qui estoient en nombre et inocupé de

    On sest enquis à moy quelz bons capitaines monsieur

    bien fort mallade et despuis deux iours qu’elle est relevée, elle re-

    le duc d’Albe n’a sceu ny peu mettre trois mil

    pour aller en Flandres ou ailleurs hors le royaume

    de Gordes, de messieurs voz enfants. Je prie le

    je vous garde ung oyseau, j’ay ung homme

    les affaires de Flandres, de quoy les Vénitiens se faschent merveilleusement et despute l’on

    On mys la mein à lepée en la presensse de Monsieur,

    et qu’il luy couperoit les jaretz s’il se présentoit à ladite cure et

    que la companye de monsieur d’At me fèt pasé plus ayséman

    sceu aucun article, sinon que vous aviez lougé la companie

    non seulement en cest endroict à vous hobéyr,

    remit d’en parler au roy, devers lequel elle alla

    laisser leurdit office, car pour le présent je n’y veulx entendre

    d’Estrozze face conte que si le voyaige n’est guères long, de mettre cinq

    [f° 70] approcher, remarquer et retenir ce que luy poura servir,

    votre seigneurie de si peu d’ocation, mais je

    vostres si le trouvés bon. Au reste, ils esclersissent

    la cognoissance attribuée par l’edict aux maitres des

    mon cousin de La Piarre et votre advis sur le […]

    descouvrir la bande de tant de meschans guarnimens.

    partie de la dispute est factieuse, impertinente et digne

    ne puis crère quil vous soit autre que ce quil vous an

    lon trouve du bon vin à ses cartiers,

    en ayant besoing, lui en fournir le plus que je pourrai. La despance,

    choses s’accommoderont, car il faut que je vous confesse que j’ay tousjours

    vous ay pas voulu envoier celluy qui

    soubz l’auctorité de sa majesté, et n’eust pas desagreable

    maintenant ne men parle point et ce nest pas

    [fol. 255] Je prye Nostre Seigneur les volloyr tousjours tenir en sa sainte garde et

    G deportes

    et autres de nous amis. Je lai retiré avec le

    deux de ses enffans du nom de laquielle ne me

    malheur nest tieul. Je fourniray à monsieur Besson

    de mesmes et faisoient si bonne mine d’ung costé

    la controva pour acompaigner et favoriser de plus les

    Chanpollion

    Collin ma dit que leurs

    je retiendray icy le plus qu’il me sera possible. Par la lettre que Chabalys vous pourta, j’avoys equivoqué

    [21] longue perche, de laquelle ilz ont opinion quilz voulloient ou peult-

    regard du troisiesme poinct de ce que l’on vous avoyt

    bons moyens que de les desesperer. Je luy tins ce propoz sur celuy

    lequel je n’ay veu despuis. Il est tant empressé à sa faulconarye,

    supplie le Createur qui vous doinct,

    le commerce des deux marchés pour sepmayne où, comme vous

    son intantion pour le divertir de toute desobeissance, car quoy

    Je prie dieu vous donner

    loing ; comme je me tenois bien assuré, remonstrant

    Notre Seigneur vous donner

    de monsieur de Montfort que je vous envoye aussi afin

    Monseigneur, que apprès vous avoir très humblement

    estrangers, et disent qu’ilz obeyront au roy en tout, orsmis

    employé faulx temoinaige comme il advance au procès ; et à celle fin

    je crois ne fairoit les rétifs, mais la

    monsieur de Tarache est [barré : daventure] arrivé devers vous, il vous

    que l’on dépêche de Granes , mais touttes choses vont

    S de Boczosel

    daubignan se doibvent rendre. J’en aurey à mon advis bien

    Mais monsieur de La Roche scait bien quil fault

    J. de Grosse Pierre, procureur du roy.

    vie. De Beaucaire, le XXVIIIIe jour de novembre 1572.

    ce que j’ay faict, mais l’on dict que seroyt bon de faire porter le garniment

    Amment, consillyer

    grâce et souvenance, à laquelle très humblement

    Du Mas, devers lequel contreroleur monsieur de Sauve

    vene et tyène vostre seynte

    conscience que ie crois fermement estre bonne

    suis rien en moindre peine et ennuy pour voz âmes, vous voyant

    et si a l’ons voulu bruire que l’ons pourroit aller plustot

    rien à mondit seigneur et n’est de grande valleur, c’est la moytié

    Ville Franche

    Monsieur comander qu’on rende une lettre que j’escrips à monsieur de St André.

    debtes. Despuis mes dernières, j’ay receu la siene de Viene,

    doneront bien plus que les votres. Vous ne trouverés s’il vous plaist mauvays que

    ces supercheries pour les amys.

    du petit chalict qui nous servira aussy bien que ung

    qui vous resteroint à paier de ceste année, mais de ce

    qu’ouvertement la royne d’Angleterre ne dict encor mot, mais

    province de ce qu’ils pourront pour occuper et distraire devantaige les

    que de ma part, je y feray bon debvoir. Je présente mes

    marche avec Monseigneur et tiendra son lieu monsieur de

    Priant Notre Seigneur vous donner,

    très longue vie. De Vienne, ce XIe janvier 1573.

    Votre très humble serviteur

    tout le demeurant. Aultre chose il y a que certains

    Languedoc et par ainsy votre gouvernement demeurera

    de bon cueur à voz bonnes graces, je supplieray le Createur,

    pour jamays serviteur

    Bellievre

    party du roy. Aurreste je ne vous dis rien de

    suget que pour donner advis de notre santé et beyser

    pis est pour les chevaux. Lons y attant [au(x)]

    quelques procès. Il vous rescrit du contenu en votre mémoire [barré : fit]

    de La Coste que javois receu en vertu dune siene

    jours et les tiennent fort bridés. Je les priey

    graces de mes très humbles recommendations, priant Dieu

    examptz de garde et les catolicques chargés

    et de plus près avec nous font accroire quils ont entendu la batterie

    à quoy je ne leur ay faict responce sans recepvoyr voz

    se que je ne puys croyre.

    royne. J’espère trouver la cour sur le chemin de

    monsieur de Vyvyiers[ ?] par laquelle verrés comme ilz sont

    le veut pas comprendre. Quant à tant de cappitaines qui se presentent, je me souviens avoir

    et luy ay envoyé votre lettre que j’ay veue, et envoyant les pouldres

    Cappitaine Laurian,

    Monseigneur vous donner en bonne santé très longue

    plus affectionné serviteur

    tiendrey adverty de tout ce quy se presantera. Monsieur scripvant

    ny du roy avec. Je vous y feray respondre si faict

    Je m’asseure que vous aurez donné advis de l’entreprinse dudit Pignerol

    Monseigneur, comme voulois clorre la presente, monsieur de Rousset est arrivé en cette ville

    que vous y peussies faire quelque chose de bon.

    longue que pour me recommander humblement à vostre bonne grace.

    se sont catholizés feront leurs pacques

    soit demeuré avec sa compagnie, attendu quil faict si bien son debvoir

    le consistoyre du pape du droyt des bules du quel nean

    satisfaire et contanter raisonnablement. Priant dieu quil vous ayt monsieur de Gordes

    [barré : et sur le poynt que ceulx dudit lieu vouloyent recevoyr la garnison]

    abandonner ses envyrons [barré : sans] autrement ceulx du Vivereys

    quilz ne souffriront estre faicte aulcune alteration en cest ordre si

    matin mis en pièces et ne vous veulx celer, syre, le bon debvoyr

    Sire, etc du Montelymar, le XXVIe daoust 1573.

    sur vous de ce faict, puis que vous en ay mandé mon intention, je sois

    faict puisque vous en ay mandé mon intention, je soye asseuré que mondit

    incomodités, ilz ne la peulvent passer.

    povoir bien ample du roy, quil est besoing quil en ait ung autre du votre qui l’acompaigne

    oultre ladmettez et recepvez à y desduyre et

    sadite magesté la connu et ordonné aveq pouvoyr ample quil luy en a

    [199] Montvendre : IIIIm p. IIIIp. v.

    comme lon na veu que trop desperiance, et encores que

    seigneur dict par[r] sa lettre que, estant poyé, je feray sesdites

    du lieu, afin de ne tomber en neccessité de

    Coderci, au nom susdit, a protesté et requis acte comme dessus,

    ladvertir de nescrire à aultre quà cedit gouverneur pour regard de

    forme , et seroit chose trop difficille et trop longue, voire impossible

    debvoyent fère

    très humble service. Jay entendu, monsieur, que vous estes

    à vous bones graces, vous advisant que je trouvey

    dernièrement à Paris, je ne peus jouyr de ceulx

    Venitiens se pleignent de la longueur de Don Johan d’Estrye

    le tout le mieus quil me sera possible.

    foyre, si jen treuve comme je

    bone grace et supplie le Createur quil vous done

    que ledit cardinal [barré : en] a usé de semblables promesses à

    Votre très humble et très affectionné

    y sont ; de quoy ladite dame a requis actes par

    de Daulphiné et de Languedoc et le divertir du propos où il est daller bien tost

    foulle ordinère continuera à sa requeste [comme]

    ilz seront logez serrez et couchez sur des lictz de feulle. Pour

    j’ay veu quelques nouvelles par lesquelles il semble quils ne soyent si

    de ma poursuitte, car monsieur le president Nicolay arriva en ceste court [le]

    toutesfois sans bien grande difficulté, quest lendroict où, après vous avoir

    chastellard

    retour entrecy et mon partement, jen scauray la verité,

    très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner,

    rue entredeulx, où il peult plus commodement faire entendre

    letres doffice de conseilher pour monsieur Mercier et cellui de l[ ??]

    Villebosc, Meruel et mon bien de Serres sans en avoyr

    lequel nous prions

    Barnaud

    cousté si les occasions nous conduysent en cella.

    Monsieur d’Embrun a bailhé ses lettres à monsieur de Chatellart quand il est

    Votre très humble allyé et très affectionné

    serviteurs les consulz de Gap

    alié et serviteur

    estoyt dedans, il demeura à La Motte. Je ne scay sil

    monseigneur, en parfaicte santé heureuse vie et longue. De Grenoble,

    aura si peu affaire pour son particulier quil noblie

    L. de brianson

    L. de brianson

    Limpossibilité que y eust eu dy conduire des

    Dieu nous vueille garder de pis, sil lui plait nous mandant une

    soubz monsieur de Moidieu de me le bailler, oultre ce que

    quon spère bien toust guerison ; et

    hobeysante à vous fère servisse

    aussy ne les re

    païs soubz lenseigne du sieur de Montreul conduict par le cappitaine

    la presence dudit sieur de La Tivolière, comme il vous plaira veoir

    à ceus qui ont de necessité à faire de ceste ville en Languedoc et Provence et au Contat car, si personne

    au lieu que dessus, en presence de Anthoine

    vous dictz pouvres subiectz

    que les ennemys avoyent despuis prinse ladite

    massurent de son très bon pourtement, Dieu merci, mais je

    comme il vous a escript, heu quelque vant que le comte [d’]

    et madamoiselle d’Hourches. Jen fois de mesmes et

    monsieur, qui vous thienne en sa saincte et digne

    serviteur

    ne divise de

    à vous faire très humble service

    monsieur en parfaycte sancté, très heureuse et longue

    deux cens hommes de pied et cinquante chevaux, le roy Philippe avoit

    des Adretz avoit trouvé pour ses compainies. Je leur

    commance des plus belles à faire les cornées qui estoyent occasion de

    hommes de pied ensemble, que le prince d’Orenge

    pour la guerre et commandement à tous ceulx qui

    Créateur vous donner

    tout prest pour l’aller quérir, que sera la fin,

    contre les Françoys comme aultheur de ce mal. Ladite armée des Vénitiens avoit assaillye

    Où estoit present lamyral d’Angleterre, et tous les Anglois,

    plusieurs aultre grosses parolles. Depuis, par deux ou trois fois, l’ont

    mes annuys et yncoumodyté de vyliese que ne sont peys

    de Centurion à Loriol où l’exercice de leur Religion

    mais aussi en tous les aultres qu’il vous

    tout sur l’heure, de sorte que s’en est ensuivi don de l’office

    aucunement et suis bien marry d’en avoir parlé. Ma ferme

    mil hommes de guerre sur ses vaysseaulx, mais s’il [n’]est court, il n’en peult

    seulement, je luy souhaitte bone santé et bone fortune.

    prierey Dieu qu’il me doinct quelque moyen que je

    tousiours de plus en plus vous actions. Je suis aussi de

    requetes de l’hostel. Si on ne vous envoye de la part

    car je crains de fallir de touts costés, lung

    Mays la justice est sy froide en ce peys, que

    de l’escholle d’où elle sort. Je vous asseure [barré : bien], Monsieur,

    dist par le passé. Le tamps ne me dure de rien tant

    sont presque tous doux et sommes en povre esperance

    comme pouvés pancer, n’a pas esté petite icy,

    eu une grande envie de veoir celle querelle cessée, de la

    at esté à Ourange parce que il est à Vallance

    le propoz que je luy en tins ; et que du tout vous avez donné advis

    à moy de luy en reparler autrement je craindroys

    protection. Je me doubte fort que Balthazar aura la petite

    sceu de leurs magesté et sommes logés ensamble

    souvient, et tient-l’ons quelle est en personne

    cent quatre vins lt, mais pour cella, il ne peult

    et d’aultre que chascung jugeoit qu’on donrroit la

    nouvelles de Paris qui leur sont estez tant agréables

    magestez travallent jour

    quar je prenoys Lunel pour Allès. Nous avons eu en ceste ville l’advertissement semblable que je

    estre auroient desja mesuree la muraille de cest endroict-là.

    faict entendre que de ma permission ceulx de la pretendue

    que monsieur Bellievre m’avoit tenu ung peu au paravant

    que je ne le voys guières, et mesmes que monsieur de Cabanes luy

    Monseigneur, en très heureuse santé, très longue et très heureuse vie. De Dye,

    scavés, Monsieur, aborde ung grand nombre d’estrangiers de

    que ce soyt, je voys que telles gens desesperés donent prou

    Monsieur et a madame de Gordes et a mes dits seigneurs de St

    le mauvais trètement que recepvés, et que

    Monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et trèsbonne

    que voyés comme on entend le voyage de monsieur de

    baisé les mains, vous supplie encores ceste foys

    en cella que touche leurs consciences ; et me l’ont ainsi declairé

    que les temoingz ne puissent déclarer la cause de leur variétté

    défianse les metra en desespoir et ruine.

    playrra vous contenter qu’il recoyve mes humbles recommandations à sa bone

    ici en tieulle longur que c’est pitié. Il se

    J’ay sceu que madame arriva à Grenoble le XIIIe

    tost des nouveles l’on attant aussi estre prévenu par monsieur

    prier sobrement le dit St Anais, si sera il bien

    Votre très humble et très affectionné serviteur.

    desdictz bastz qu’ilz hont là-hault. Vous en ferés ainsi que mieux

    G. Clamet, conseler

    me recommande, priant Nostre Seigneur vous

    me pria d’aller. Le contreroleur estime qu’il n’y a

    relygyon chatolique romeyne

    [266] en toute aultre chose. Monsieur, vous et tous

    en très mauvais chemin et voye du salut d’icelles, ce

    ranger les affaires en Languedoc que nous tenons

    du revenu d’une chanoynie ou environ, dont la chanoynie

    Mon filz de Bautmont est às Aix à la procuration de son arrest. Sa partie luy doint

    mais non celle de Bonevaux. L’ons ha fait mort ici

    je vous supplie voir les lettres que j’escrips à monsieur de Evesnes vous con

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    neuf. Il nous fornist aussy d’ung matellas et d’ung

    qui vous est dheur du passé, en demander assignation

    que l’on ne doibt pas estre du tout sans craincte de ce costé-là,

    forces du roy ; ce qui n’est pas trop mal croyable pour deux raisons :

    très humbles recommandations à votre bonne grâce, priant

    Villeroy lequel scay vous est affectioné de luy, parlerey

    monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vye. Au Montelimar,

    Monseigneur, jay entendu que plusieurs et diverses personnes se licentient

    So. de Boczosel

    en ce pays mesmes monsieur le presidant du Faur qui

    sans aucunes forces dont jessayeray de fayre le mieulx

    Monsieur de Gordes, vous donner en santé, bonne contante vie.

    Hourche

    la pitié et desolation des environs de ce lieu.

    tres humblement les meins aux personnes qui la desire

    premier jours les forsses de monsieur ladmirail mais [non]

    touchant Chateauneuf de [Charlomet]. Luy et moy avons veu [lectre]

    lettre de change de la mesme somme. Je croy que le dit

    dernierement daller couper la tralle du port

    vous donner,

    dicelle ; de quoy vous en avons volu donner

    de Sanserre jusques à conter les coups. si commen çons nous à

    commandemantz. Il n’y a autre chose de noveau, monseigneur,

    St Leger à Fontainebleau où le roy comme on tient

    audits Baronies. Je vous supplie monsieur fère anvoyer

    ouy dire à feu monsieur de Selve ambassadeur à Venise, lhors de la guerre de Parme qu’il n’avoit

    et bouletz jusques à Valence, je donneray ordre qu’ilz passeront seurement

    j’ay receu votre lettre

    et très heureuse vie d’Exilles ce VIIIe mars 1573

    La casette

    ceste Madame d’Ourche me anvoyé monsieur de La Bastie pour

    n’a esté estant à la cort. Monsieur de Montmorancy

    à ceulx ausquels le faict touche, qui me gardera de vous en dire autre

    en poste pour quelque entreprinse qu’il a en mein concernant le service de sa magesté

    Le poissonnier a dict avoir laissé mon frère à Sardon

    Monsieur je prie Dieu, etc, De Grenoble, le XVe de mars etc.

    pour en advertir votre seigneurie du tout, vous

    [56] que je men contante comme aussi doibt-il estre contant du traictement que je luy

    moings jen espère [barré : quelque] quelque grace par votre moyen

    en sa sainte et digne garde, escrit a Fontainebleau le XXIIIe jour d’avril 1573.

    faire prandre garde quil ne fasse en votre armée quelques mauvais

    passeront en bon nombre de çà le Rosne pour du tout

    saigement institué et ne voudroient rompre le lien qui a tousiours

    de la noblesse de ce païs quy se sont la plus grande partie

    asseuré que mondict pauvre peuple ne sera plus vexé, ny opprimé en

    pauvre peuple ne sera plus vexé ny opprimé en votredit gouvernemment

    La ville de Vienne quelle plantereuse

    pour estre dautant mieulx obey es lieux et endroictz où il vous plaira que marchions,

    produyre ses tiltres, droictz et à poursuyvre

    despeché.

    Romans : Xm p. VI p. v. – f ourny : VIm pains VI p. vin

    toutes ses reysons la soyent assés suffisantes pour les

    toutes contribussions, il seroyt fort nessesaire aussi

    advivres, car nous en avons assés fort peu,

    mesmes quilz avoyent nommé et esleu ausdits comptes ledit André Alanson

    ma dellivrence, car il ne faict rien pour persone, encor ne say

    de nous comuniquer les uns aux autres les reiglementz qui se feront

    qui ont fayct ce

    [f°38] en volunté de venir ung de ces jours à Rousset pour faire baptiser

    hier au Baumetes votre depeche du XXe, laquieulle

    qui men pouvoint declairer, non plus que avoir souvenance.

    et luy ce desol[e] de leur inrresoullution. Vous porrez juger

    croy quil fera. Hier, jenvoye

    an parfaicte santé très longue et heureuse

    monsieur de Suze. Dieu veuille conduire le tout.

    serviteur

    nous notaires royaulx, requerant de ladite requeste

    à Lyon. Les dernières nouvelles que lon a du serenissime roy de Pologne, sont quil

    neanmoyns venant de moy. Jen parlay à la royne [mère du]

    leurs chevaulx, il y a bonnes escuries. Je vous supplie croyre,

    prets d’accorder pour avoir esté descouvert que soubs pretexte de ce traicte,

    jour après où il est encor pour les petitz seaux. Le roy veult savoir silz

    salué de mes plus qu’humbles recommandations, je prie le Createur,

    mays jaymeroys mieulx scavoyr de vous, monsieur,

    monsieur, en très bonne sancté longue et hereuse vye. Au Montelimar, ce premier febvrier

    ces passions. Elle est belle vefve, honeste, de bon lieu

    est bien certein quil y heut he [sic] de difficulté à [en]

    peu jouyr de la valeur dune esplingue, me contrainct

    monseigneur, après vous avoir presenté nos

    Quoy advenant, quand vous laurés agreable,

    allé à Paris, comme jheusse fait si lheusse veu, mais, venant de Poissy,

    serviteur monestier

    Chambaud

    sassenage

    scavoye rien de lentreprinse. Monsieur, vous mescriptes

    ce IXe jour de febvrier 1574.

    toutes promesses mesmes voyant les difficultés du

    vivres quant ores il y en eust heu ailleurs,

    bonne paix et bien asseurée, lequel je prie, et après avoir sallué

    cela me viendroit bien à propos, jen serois daultant

    me semble quelle commence à faire bonne

    claude de St Priect

    sercherey pas dudit

    Villedieu, estant la compagnie à Pignerol, luy et une quarantaine

    par l’extraict d’icelle ; et m’excuserois de la trop grande doulceur que

    ne leurs faict resistance, je ne doubte point quilz nempeschent que dycy au Rosne seulement [barré : ne] le chemin ne

    Rippert, messire Jehan Renire, prebtre à Loriol

    Charpin conseul

    maison et quil ne falloyt pas sortir aujourdhuy

    nen ay aucunes letres, qui men fait crère quil doibt

    Agaiast debvoit avoir mis en avant que, aiant vous

    prie Dieu vous doner,

    garde. De Taulignan, ce XXIIe febvrier 1574.

    Duvant.

    luy et advoue

    De comborcier.

    vye. De Chateauneuf du Moysens, ce 27 febvryer 1574.

    mandé au gouverneur de Catalonie de assembler forces pour les defe[nses]

    ay monstré le présent pourteur pour le premier. Je ne

    sa malladye, de laquelle il samble qu’elle ne se ressouvienne plus. Je prie

    a rompu deulx mil chevaulx et quelzques

    y sont ou en chemin, subgetz du roy, de se retirer.

    Monsieur, avec les siennes tressantes, très bonne et

    après vous avoyr supplié me commander

    une ville maritime nommée Castelnovo, mais ilz ont esté contrainctz de se retirer sans y

    Monsieur, favorisant audit Du Gua. Sur ce, je me recommande

    assally aux Eschelles, et entre aultre une fois luy ont faict demander

    sy ese que Dyeu me fet puls de grasasas que je ne le sarés

    se faict et que c’est en hayne d’icelle. Il y a, comme

    plaira me commander de telle volonté que je

    de premier président, advenant le décès de monsieur Truchon,

    résolution en est là. Je ne scay encor quel chemin

    charger que trois mil cinq cens. Quelques-ungs ont voulu dire que pour

    On parle icy divertement de la defaicte et non défaicte

    me puyse employer pour votre seigneurie, ainsi

    mon cousté bien marri que monsieur de Villeroi ne continue aux

    du roy ledit cayer, je trouverois bon que ne laissisiés

    je ne voudrois fallir à

    sy vous et messeigneurs de la court ne les

    qu’il est grand bruict en ceste cour de ce cayer contre vous

    darriver della que pour voir ses menées et en ayant le

    den avoir ceste presente année.

    vous assurant bien que, à mon grand regret, je vous en

    quelle je tiens que tout cecy soit procedé. Ce que toutesfoys, en foy

    et luy ay commandé de ce prandre garde s’il

    à sa majesté, mais que l’on avoit tardé fort longuement à

    quelle dist quelle me feroit trop dhonneur

    veyrolle comme son compaignon ; et en cest endroit je me

    Je remets à monsieur de Chatelart à vous rescripre

    avec ledit ranfort. Qu’est tout ce que vous

    loger au collège cest année ; car tout y est

    batailhe. L’esquadron de main gauche du seigneur

    que ne se peult dire. Ilz commencent maintenant en Italie

    et nuyt a mestre ung

    vous escrivoys. Pour n’avoyr aultre chose qui meritent vous escrire, je salueray voz bonnes graces par

    Le lendemain, je fus sur le lieu et trouvay qu’autrefois on avoit

    [34] religion emprisonnez avoyent des armes dans les prisons,

    dudit sieur de Monbrun suivant une lettre que monsieur de Saint-André

    a dict qu’il n’est pas d’avist que viegne prendre les perdrix

    ce Xe octobre 1572,

    touttes conditions et relligions. Je vous supplie, Monsieur,

    peyne. J’ay veu letres qu’escript monsieur de Chastelard

    Andre et Dasnieres tres bone longue et contente vie de Gargas

    l’ons faisoit tout ce que l’ons peult et que l’ons

    vie et longue. De Rousset, ce XVIIIe octobre 1572,

    Valance. Nous escrivons à messieurs d’Argentenant et

    me comander comment nous conduyrons vers ceulx de

    naguières les plus principaulx, dont aulcuns se veullent

    procédée par son moyen, comme je pense, je cuyde qu’il les a faict

    L’ons atant jour pour jour que la roine s’acouche.

    grace. Monsieur de Lombes feust despesché par monseigneur le mareschal

    bruit que monsieur de nevers ira bien tost assalhir Sanserre,

    en très bonne santé, de quoy je loue Dieu. Je luy baise

    le visconte Cadenet. Je seroys bien èse qu’il se y trouvat

    marri quand il saura quel brave et quil

    Bellievre

    l’entendés sy l’ome que m’a escryt vynt[...] avecques vous

    Jean Ponchud, conselyer

    donner

    autre lieu où l’on peut remuer les postes si ce n’estoit

    Je prye Dyeu luy pelse conduyre

    ceulx à que ie dois service et obéissance l’auront

    que je vous supplie ne prandre en mauvaise part. Quant

    ici n’en aller guières bien. L’ons y a voulu dire ausy que

    vault cinq cens livres pour an, à ceulx touesfoys qui

    bien de la besongne ; je scey quenfin ele ne s’en trovera pas bien. Mon jeune filz est avec luy.

    l’abé dudit lyeu et donné ses abaiees, estant

    tant à iceles ce que j’ay faict jà par la troisiesme foys que à mon avis vous

    bone grâce et supplie Notre Seigneur qu’il vous done

    traverse. Ce nous est autant d’argent espargné. Je suis

    au commencement du mois d’année procheyne, à quoy je

    que Montgomery essaye à armer quelzques vaisseaux comme

    l’une pour ce que, comme disoit un ancien : Nemo diutius in ea conditione

    Dieu, Monseigneur, vous donner très longue et heureuse vie. De

    et recomanderai cest affaire. Lons l’heut plustot

    ce Xe janviert

    de pourter harquebuses et pistoles soubz le preteste des

    pour donner faulx à entendre à monseigneur dampville

    que je pourray et metrey poyne que ledit cappitaine recevra le

    De Lunel, le XXIe jour de janvier 1573.

    Nous avons comancé à nous en resantir bien tost après

    entendre qui, se leur plait, ne trouverount mauvais que

    sa personne. Le temps nous a favorisé jusques ici

    à ce que tantaut vous ne serés pas encores en ce pays par ce que monsieur

    Besson vous donrra advis du tout. Et quand il aura

    du Poulsin, ce quilz firent très voluntiers

    monsieur, en perfecte sangté, très bonne, très longue heureuse

    advertissemant et scavoir sil vous plarra

    tarder beaucoup den avoir nouvelles. Dieu les nous doint

    qui merite vous escripre en attendant vous commandementz,

    pour seur vient faire Pasques. On parle diversement de La

    [232] ung comissayre pour les vivres. Et atandent

    jamais veu tant de cappitaines qui se presentoyent de faire service au roy ny si peu de souldas, tesmoins

    soyt par eaue ou par terre, car monsieur de Rosset mon lieutenant

    par le conseul Chaponay

    Monseigneur, je feuz dernierement à Saluces pour le prieuré

    me prier de vous scripre que suyvans quelques lettres que l’ong

    me demanda à St Leger de voz novelles.

    chose encore que cela m’ait aucunement troublé, ne pouvant oublié

    et votre, qui m’a requis ung quintal de poudre pour l’exeqution de son desseing en

    qu’il s’en vient et devré estre icy demain au soir.

    asseurant, monseigneur, que tous les vilages

    faictz, qui sera cause que je ne luy presenteray point la lettre quil vous a pleu luy

    et faveur, mays cest pour povoyr des fruitz satisfère

    Charles

    [barré : que ledit sieur en est quil leur ordonnoys ce que luy et les sieurs de

    [barré : sire et de Valence]

    tenu et tient encore unis et conjoinctz voz subiectz à lexecution

    rendus près de moy en très bon ecquipage. Je vous envoye

    votre dit gouvernement, comme il a esté jusques icy et que je nen aye plus de

    comme il a esté jusques icy et que je n’en aye plus de plainctes. Priant

    sayson que arrive nabonde quen [mot barré] vins

    car sans cella, nous craignons fort de tomber au desordre susdit et quil ne sengendre

    ledit procès ainsi quil appertiendra par raison et

    Sassurons bien que aveq le bon conseil, advis, intelligense et correspondance

    Chateauneuf d’Izère : Vim pains VI p. v. – f : XVc pains XVIII barraulx vin

    tortz que lon ma faict cela nest pas la seule cause

    davoir permission de prandre quelques blés et vins

    de façon que ny estant pourveu de bonne

    ayant esté diacre et estant encores fort affectioné et

    sil fera rien pour ledit sieur d’Ambrun tant il est altier, bien que je

    sur ladicte contribution par tous les pays de Guyenne, Rouergue,

    quilz ont peu pour

    ung des enfans de monsieur de Rousset. Je cuide bien, monsieur

    monsieur d’Apt mandoit à Gargas. Je loue Dieu

    On tient que monsieur lamiral sera à Bloys le Ve [barré : de]

    que ses choses là vallent.

    les mulletz à La Terrasse qui sen

    vie. De Grenoble, ce XIIIe 7bre 1571.

    [149] Loyrant escrit du VIIe à monsieur le pnenteur que lon attendoyt

    Bellievre

    estre retenu regonu deuement collacionné et signé pour

    est dans le païs de Saxe, qui est le plus dangereux à passer. Il y a icy

    roy, luy disant que ne pouvois de moins que luy et

    monsieur, que le proffict ne conduict point ce gentilhomme vers

    ledit commandeur a voulu seduyre les capitaines dudit prince. Vous verrés le

    nont jamais esté establis dans le païs pour les contratz et avoir sur ce

    monseigneur, vous conserver en parfaicte et très heureuse santé. Der

    une conclusion de paix ou tresve longue et asseurée

    Le sieur du Pègue estoit venu icy en desliberation de vous aller faire certaynes plainctes de ceus de Toulignan qui le mena(ssent)

    et de bonne part, et aymable et daussi belle taillie que damoiselle

    obtenir lung pour monsieur Robert dautant quil y a ung [ ??]

    leur demander les arrairages, Voiant ma necessité,

    très humbles recommandations à vos bonnes

    le cappitaine Lagesta auroit bonne devotion de

    où il loge, il ha passé par ce lieu sans me pouvoir trouver.

    [134] Ce cadet de Voguedemar est de Bainisan et estoit sergent de monsieur

    par votre dernière lettre de faire mettre en liberté deulx des

    Votre très humble serviteur

    pouvoir effectives. Monsieur de St Suplice est de retour

    tant pour ce quilz ne sy pourroyent porter que par dos

    vous bonnes graces de mes très humbles recommandations,

    deschargé de pancemant. Les contreroles de ma compaignie

    chère. Je ne fauldrey à luy communicquer

    mandement,

    desdits soldalz, conduictz par le cappitaine La Forestz se desbandarent

    l’on a usé envers luy pour avoir par deux fois encouru crime de lèse

    sera libre pour nous. Et Dieu faict si pour leurs premières cources ilz y ont quelque amource comme ilz

    dudit lieu et lesdits Jehan [barré : Az] Garach, Rippert

    dudit lieu

    que bien fortz, car ilz sestoyent bien fortiffiés

    escripre par autre voie. Je vous ay, par le dit sieur de

    les ennemis sur les bras, aviés moien les emploier ;

    monsieur, en santé heureuse et longue vie. De

    Je ne say monsieur, si estes adverty

    bien que la

    Votre très humble et pour à

    Ce quest bien assés dict pour en penser devantage ; mesmes que ledit corrier semble,

    scay si les autres seront de l’estoffe on branle à les

    à Dieu que ce soit avecque raison et avec la santé qui occupe la place

    gens de pied que l’archevêque de Cologne avoit

    Le roy de Navarre doibt arriver demain en ceste

    longue vye. De La Coste, ce XIIe de julhet 1572

    votre vouloyr pour icelluy toute ma vie hobéyr d’aussy

    faire long séjour à cause que la ville est forte, bien munye et fut secouru de XIIcs L

    très humblement à votre bonne grace, prien Dieu vous donner

    pardon et prometre ce qu’ilz ont voullu. Je vous laisse penser et juger si

    remersyé et luy prye me donner pasyanse an toutes mes aversytés

    Cugy m’a dict, autre cahier contre messieurs de

    supplie le Créateur,

    à monsieur le président Bellièvre et don à vous de

    aura prins votre dépesche du IXe de ce moys. Vous verrés

    certain le voyage estoit rompu et que le roy debvoit envoyer commander

    du duc de Medina Celi et me doubte que se trouvera

    que je le desire. En actandant cest heur, je

    depeches de deça, car il est trop plus tretable

    d’y respondre, ce pendant, j’en ay trace quelque

    obéir à ce que Monsieur

    eschaufés par exortations et comandemans, je ne

    [mots barrés] et, comme je vous ay escrit cy-devant, il est de besoing

    moyen pour vous y faire le servisse que doibs et

    Il encherit tous les jours et à

    importune, oultre que pour ce n’en debvés vous incomoder,

    d’homme de bien, je ne faisois pour autre respect que pour ce qu’il

    an recongnoistroit quelqung allant à la

    vous y respondre. Le Cheylar m’a dict ses jours passés

    de my acompaignier.

    recommande de fort bon cueur à vostre bonne grace é prye Dieu

    plus particulierement toutes choses comme pance a

    puis dire, après mestre très humblement

    meshuy loué. Il logera près et me samble sera

    Marc Anthoyne allast pour investir celluy que luy

    de parler d’ung aultre langaige qu’ilz ne faisoyent naguières.

    grand et bon reglement

    mes tres humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner,

    tant gecté de terre du chasteau contre ceste muraille, la quelle

    je vous prieray, Monseigneur, croyre que je seroys bien

    luy en avoit escritte en consideration de ce qu’il est oncle du sieur

    ici, ains les fault garder pour vous. Il n’a pas grand envye de

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    avoyr pitié de moy pour me donner des gentz de guerre

    à ceulx du païs qui semblent menasser du costé de La Rochelle

    As la hatte ce XIII doctobre 1572 à troys heures apres midi

    trouvat quelque chose, j’ay mis en avant le reste

    Votre très humble serviteur

    de Catinel tochant le memoyre du roy que monsegneur

    ses cartiers qui vont au presche en Pragella

    [143] absenter, voyant le peuple si imbut et obstiné en ceste malheurté,

    évader et absenter de ceste province, hormis ung, craignant qu’ilz

    Vous aurés lettres de mon nepveu de Laval,

    de cavaler devers sa magesté pour le faict de Nismes, qui le tient en peyne

    mais demein il en courra ung autre. Le pis que je y vis

    les mains très humblement. Elle prendra, s’il luy plait,

    pour douse jours que ma femme est icy, aussi sont mes

    remerciera sil en a le moien, si comme jay tousiours creu

    Madame de Gordes et monsieur de

    comme yl me mande et ne se soyt remys à vyver comme

    Gabryel Ponchud, conselyer

    monsieur, en parfaicte santé longue et très heureuse

    par ung lieu qu’il appelle le Pertuis, lequel n’est encor

    le tout à son honneur et goyère.

    fidèlement de moi, si leur plest. A Gargas

    à mon abbaye, vous en fairés comme vous samblera pour la

    monsieur de Monbrun y estoit allé pour chef et que

    les servent, car qui ne sertz bien ne prend et

    L’on m’a dit et assuré que Tousen a promis espouser la filhe de monsieur

    monsieur de Saint-Jehan en Lorreine, mais enquores qu’il

    ne trouverés estrange d’aultant que c’est de frère à frère. J’entens que l’on est

    en toute prospérité très longue et heureuse

    sus le poinct d’achepter plusieurs aultre ménage come

    donnroi la première poincte avant que partir et

    faict aussi ung autre huguenot nommé Saure. De

    manet cuius eum pœniteat quam necesse sit ; l’autre pour ce qu’il ha

    Paris, ce pénultième jour de l’an 1572,

    mis en avant mais je me suis tousiours persuadé

    Vostre très humble et très obéissant

    troubles survenus. Je vous supplie surce me faire entendre votre

    il a obtenu commission de luy pour mettre garnizon en

    trettement tel que vous, monseigneur, desirés. Ne ayant rien

    Votre plus affectionné, parfaict et entierement

    le partement de Paris, car tout est mangé par les

    mon nepveu et moy leur fassions par ce mot,

    et ne creignons rien tant que les pluies.

    d’Apt a dit à ma femme à Sapt par laquele monsieur de St Sernin

    besoing de secours auqueul je ne puis meslé rien

    et le lendemain les envoye abbatre les

    vye. Du camp de Sommieres, ce dernier jour de febvrier 1573.

    quon les cotize pour la garde à leur tour,

    bones de toutes pars.

    comme celuy qui desire vous faire très humble service. Je fineray

    Rochelle. Le bruict commun que on est entré en quelques

    de vous nouvelles, je prirrey Notre Seigneur vous doner,

    qu’il n’y a precedenx que ne vous promectent (je m’asseure) de vous amener dans huict jours

    qui est à Loriol m’a escrit que le XIIIIe de ce moys, il fis rompre tous

    present porteur.

    de Mentolles et avoys eu bone responce

    a trouvés à ungne femme dont je vous envoye copie venant

    Il n’y avoit poinct de segneur avec le roy que

    ce que nature m’oblige de maintenir de voulloir et d’affection au service

    partie de la commission qu’il vous a plu me balier, ce que je n’ai pu en vertu du pouvoir

    Votre très humble et très affectionné serviteur

    dicy alentour sont de la religion. Lon ma

    escrire, ny que pour ceste occasion, je vous en face la presente plus longue,

    à la despence de la despeche, me retrouvant en telle

    De Neufville s[ecretair]e

    Monjour et de] offices quintel qui sont de ce païs qui les persuaderons,

    nous empecher la recolte. En fin, syre, je nespergneray

    de voz commandemans ; et seroit à desirer que ceste poursuitte

    le nom de chevaliers de votre Ordre qui de present si trevent et

    plainctes. Priant Dieu, mon cousin, vous avoir en sa saincte garde.

    Dieu vous avoir en sa saincte garde. Escript à Paris le IIIIe jour de septembr

    dont ilz nont recuillis ceste année tant

    ung très grans [barré : contentement] mescontentement en noz trouppes par le moyen duquel

    lequel voulons estre par vous subrogé [barré : d] advis et

    que avés aveq ledit sieur cardinal, ilz mectrons tel ordre à la conservation

    Tains : VIm pains VI p. v. – f : VIm p. IIII p. v.

    que ma faict prendre les armes, mays plustost la

    sur les villages qui nous sount contribuables , toutesfoys

    heure et pendent que le temps le permet

    tenent le parti de ladite nouvelle oppignyon. Faict au lieu

    croys que si voz letres avoynt bonne conduicte seroyt (barré : por]

    Languedoc et Daulphiné, car le temps de la suspension sera expirée avant

    fayre entendre

    puisque vous serez si près d’Ambrun, que si aumoins vous ne prenez la

    de la continuation de votre senté et de mon nepveu.

    de septembre. Les princes sont en Bear[n] avec la royne

    remuèrent et portarent quelques cercles

    Votre très humble et très affectionné

    ce jour là ou le lendemain larrivée de monsieur ladmiral

    [165] Monsieur, le president de Portes ma dict avoir parlé

    sen servir et en avoir recours où et à qui il appartiendra

    gens du Comtat qui empeschent que les compagnies dordonnances nentrent

    que en avois santi le supplant de metre en […]

    vous, mays seullement lenvye quil a de vous faire service,

    traslat d’une lettre que le conte Palatin a escritte aux seigneurs de Basle

    ladvis de sa court de parlement de Grenoble ; quant à luniversité de Grenoble,

    Grenoble, ce dernier janvier 1574

    pour le Daulphiné. Je suys contraynt vous dire encores une

    de le faire demetre de sa charge. Despuis, il cest advisé de sen retourner, mays me

    [97] de ceste ville. Jen ay jà faict la guerre audit sieur de Bazemont, mays

    et que lons ha ici créé jadis la pluspart des deputés

    naiant rien volu fère que premierement n’aye heu votre

    graces, vous maintenir en sa saincte grace et

    vous fère très humble service ; que sera lendroit

    Je latans ce soir à ce quil ma fait dire par mes gens.

    d’Ourches. Je pence que monsieur de La Tyvolière vous faict entendre lestat

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    prisonniers qui sont en ceste ville, par eschange de

    Duvant

    de La Rochelle [barré : au] et il lons [sic] ne desire que par

    de mulets que par ce que par le moyen de plusieurs

    [183] quil vous doinct,

    sont tous prestz et les feray bailler à messire Claude Cat

    de tous vous biens et vous heusse

    estant très marry

    dudit Pignerol, se retirarent avecq lez huguenaulx en la val d’Angrogne,

    maiesté, n’estoit que je suis contrainct passer par leur conseil et

    seront friantz dy retourner, à quoy pour le passé ilz nont ausé hazarder, vous sachant en ceste ville

    et Renire soubz signés, vue avec Lyon

    et multipliés

    Chatel et ce jour devant par autre depeche, escript si

    mais je ne le puis crère car je luy en ay parlé

    Paris, ce XXI febvrier 1574.

    que ces jours passés que Tulete a

    trève seroyt bonne

    jamès très hobeyssant servyteur

    [f°180] à le veoyr, estre habile homme qui est tout ce que pour le présent

    renvoyer chez eulx. Monsieur d’Hourche vous en pouroit

    par longues années. Ilz ne font qu’aller et venir de Madri à St-Mor, au Tuilleries,

    levé pour le service du roy chatolique. Touttesfoiz,

    ville, au devant duquel sont allez messeigneurs

    Votre très humble cousin et affectionné

    bon cueur que la dame de séans et moy nous

    chevaulx turcqs qui n’estoient esloignez du lieu. Ilz tiennent pour certain que l’armée

    Monsieur, très bonne vye et longue. An votre maison de Lestang

    ung bon et vray gentilhomme vouldroit faire tel tour. Pendant lequel

    la cour de parlement. Ung des articles d’iceluy est

    Monseigneur, vous donner en très bonne santé

    l’estat de tiers président pour en faire votre profit et y

    les articles des Huguenotz de votre gouvernement par la

    en ceste ville d’arrester les vaysseaulx qui sont dans ce port et ne les

    que toute la tempeste tumba sur la flotte de Portugal qui

    luy prie de bon cueur,

    que lautre. Monsieur de Mandellot feut avant-hier

    response que je vous envoye, laquelle je ajanceray

    me comande ; laultre je ne

    doubte que nous tunberons à ce maleur, comme quy

    que vous en escriviés à leurs majestés et à Monsegneur

    désire, nayant despuis mes dernières rien

    Gordes se vant XXVII s[ous] le [barré : bara]

    car nous aurons peult-estre mieulx dellà que n’espérons.

    me sembloit, comme aussi il faisoit à monsieur le premier president,

    foyre. Je part aujourd’huy pour me

    que le XXVIIe de jullet dernier le sieur de Miribel et sept ou huict

    Monseigneur, je prie le Createur vous donner santé

    vous donner la sienne, acompaignée de longue et contente vye.

    desia fait. Jai veu mon nepveu Baltesar qui avec ses

    recomandé à vous bones graces et celles de

    pour ceste première année autant ou plus à

    estoit par front de l’armée turquesque et s’approcharent

    Bien dit ledit seigneur cardinal que les armées s’estoyent

    pour myeulx fuyr toutz lez

    Monsieur, en très bonne santé longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce [blanc].

    ne paroissoit pas plus haulte que vingt ou vingt deux piedz ;

    marry d’avoyr permys telle chose, laquelle aussi s’est

    d’Allieres. Comme mondit sieur de Saint-André vous pourra dire,

    faire le voyage en Daulphiné. Et pour vous respondre à celle du

    Monleheuc

    cellon que voyés et verrés s’en presenter l’occasion et moyen

    et de l’inconstance des vicomtes qui avoyent faict semblant se

    Votre très humble cousin et affectionné

    de revenu de Grane, à quoy l’ons monstre avoir

    Rousset

    le mareschal nous a faict tenir, et leur envoyons

    et s’excusent y aller pour autres negoces, et

    tellement que pour leur fermer le commerce seullement, combien qu’il

    l’acusent à la question, laquelle je croy leur seroit bailhée.

    qui me gardera vous en dire autre chose, sinon que

    et mès que [barré : troys] deus ou troys qu’il les facent rendre deshobéisantz,

    c’est que la et alhieurs, ils s’ameigrissent de plus en plus,

    les lettres que je vous escris pour siennes. A mon acquit

    deus filz et ma fille de La Coste. J’escripvis par ma dernière

    La Roche verront icy [s’il] leur plait,

    Dyeu et la Seynte Mère apostolique, chatolique romeyne

    vye. De Greignan, ce VIIe décembre

    suffisamment ouvert ; qu’il eust bien voulu scavoir quelz

    Gylbert m’a pryé vous escryre que

    et Apt, tout, grâce à Dieu, se porte bien, comme

    sauver, espérant que vous fairés que celluy à qui la

    le Montélimard avoit estre surprins. Je n’ay creu ni

    aussi ledit sieur d’Aiguebelle n’a aultre bénéffice

    de Meyrargues contre la volunté de sa mère. J’espère d’en scavoir bien tost la vérité.

    feut mort, elles lui estoint réservées. Monsieur de Birago

    après à fère trouver bon le mariaige de Jenson à sa mère qui hen est

    vie. De Beaucaire, le XXIIe

    vessele, linge, table de camp et aultres choses nécessères

    monsieur de Chastellart solicitera le reste

    ce matin, on parle de la mort du roy d’Espaigne et que

    esté dict il y a deux mil ans, et nous l’avons trop expérimenté depuis dix

    Votre très humble serviteur

    que le comancement de l’année seroit plus propice

    filz et à jamays serviteur

    bon plaisir

    sa mayson disant que cest pour la seureté et deffence

    plus cher que dobeyr à voz commandemens. Et [barré : ce qu] en cest endroyt,

    meilleur amy H de Montmorancy

    chemins à cause du passage de gens de guerre

    vous en suppliant ausy très humblement et monsieur

    Je me recommande en cest endret, très humblement

    a adverti de ceste comodité. Pour cest endroyt, je salue voz bones

    pour estre tant esloigné de lui. Quand à mon nepveu

    cabries dudit port, mais il ne les peurrent

    [184] Monsieur, je pencoys que ce pourteur partit plus toust

    car comme il vous plarra ordonner nous

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bone grace et supplie

    la presente, priant Dieu,

    parlement et que le sieur de La Noue avec deulx Rochellois

    monsieur en parfaicte prosperité, très heureuse

    cent ou deux cens bons soudas, que n’en mectent pas ensemble la moytié dans quatre

    les bateaulx qu’avoyent ceulx du Pousin ors [barré : v] le grand qu’ilz trouvèrent

    Je n’ay jamays

    mais despuys on leur a dit qu’il valoit plus

    l’ugne de monsieur de Roysse et acdressante à ung sien beau frère

    luy et monsieur de Fecan frère de monsieur de Guyse.

    du roy.

    par vous à moy donné. ^ [^ Toutefoys je n’ay laissé respondre à mon nom demy

    Bellievre

    adverty que la nuict, il passe quelques uguenaulx

    si nest pour vous adviser, Monseigneur, de ma dessente çabas pour [barré : empescher] mopposer à tout ce que ceulx dudit Pousin pourroient entreprendre sur cestuy votre

    necessité pour ne recevoyr aucung payement de

    de sorte que ilz prindrent les armes et ont tenu et tiennent

    aucune chose pour le bien de votre service et

    fut tombée en autre temps qu’en cestuy-cy, où le peuple a

    seroyt à propos, syre, quil vous pleut fère quelque

    Escript à Paris, le dernier jour daoust 1573.

    1573.

    que leur suffise pour [dr …oys] ceulx

    lon seroit contrainct faire chose qui ne pourroit que redouter au preiudice du

    receu par cesdites presentes par lesquelles mandons à

    des villes et lieux quil nen adviendra doresnavans inconvenient.

    Sainct-Vallier : VIIIIm p. VIII p v. – f : IIIIm pains II p. v

    rage et furie qui est bandée contre l’Eglise de Dieu

    an poyant an telle quantité et au taulx quil seroyt son bon

    seroyt à creindre den tomber en une grande

    susdit, aux presences de noble Loys d’Arenton dudit Arenton en Savoye

    possible quavant que ledit sieur d’Ambrun fust departy de Lyon, il les

    qu’on ait osté dung bout à lautre, si chacun estoit aussi las des

    à chascung que ce soyt

    paine de venir iusque là pour l’amour de moy, que ce sera pour venir

    tout est de mesmes à Gargas et Apt, où jespère,

    de Navarre. Un segneur de Beauvais, gouverneur du

    pour les thoneaulx et rapportarent

    Serviteur

    et de monsieur le mareschal de Cossé qui le conduict, quil

    au jeune Minart qui partist de la cour il y a XIII jours

    [9] par raison. Faict au château de Tournon en la chambre de ladite

    dans ledit païs du Comtat et que monsieur de Suze ny autre y commande que

    [barré : l]ses servisses don par plusieurs letres vous

    lequel se contentera de ce que vous vouldrés. Je vous

    et pareillement aux seigneurs de Berne, de tous lesquels deux lieux.

    le roy ne peult revocquer la reduction quil en a fait à celle de Vallence

    Votre plus humble serviteur

    foys que si le roy ne met la meyn aux armes et à la

    prye de le vous faire savoyr. Il vous escrit une lettre que je vous envoye.

    il se promet quelque asseurance. Elle a jà heu deux

    des provinces surce que aul parlements sount [filz]

    voulanté à laquelle ne veulx passer oultre, je vous

    en très longue et très heureuse vie. De Gap,

    que je prierey le Createur

    auquel lon a trouvé le chasteau de monseigneur de Vauldemont tout

    [144] Monsieur, je

    Flory et du seigneur Cezar. Nous balherons Margallier

    monsieur de La Noe y est avec XV ou XX cappitaines ???

    petis chateaux occupés, on les eust peu couper

    monsieur avec les siennes très ssainctes, très bonne et longue vie.

    pour les randre à monsieur le tresorier, suyvant votre

    escript plus amplement, mais jey esté

    que navés le moyen

    puis par voyes indirectes à Feysinières et avecq les trouppes

    advis.

    accompaigné de quelque cavallerye, dont je veus croyre que cest la principalle occasion qui les ha jusques

    [paraphes] Garach Renire

    au long que je nay rien plus à vous dire. Je men vois donner

    ouvertement et fayt confesser que leur desante

    Votre à jamais très humble

    trahison menée par des souldatz

    et proffitable,

    de cloyseau.

    je vous puis escrire, après mes très humbles recommandations à vostre bonne grâce

    escrire plus au long. Cependant, ce seroit grand bien

    à Paris où ilz ont ce iourdhuy disné, souppé aux Tuylleries, couché à Madri. Le

    on ne pense pas qu’ilz puissent gaigner ce poinct

    le cardinal de Bourbon et de Montpensier. le roy

    serviteur

    recommandons très humblement à votre bonne grace, priant

    de la Ligue ne fera pas grand chose ceste année si les affaires succèdent mal en Flandres.

    le XVme de julliet

    temps, ont mis un pauvre curé ignorant de mauvaise vie et totalement

    pour l’adjournement personnel donné au sieur de Torchefelon,

    et prospérité, longue vie. De Romans, ce

    nommer l’homme capable. De quoy, à l’issue que la royne

    dépêche que Bourgel vous porte, qui méritent bien response

    laysser sortir, dont en ayant senty le vent, ceulx à qui ilz sont les en ont

    estoit toutes de marchands pour les affères de Flandres. Nous

    Monseigneur, qui vous doint en très bonne sancté

    seans, voir mon nepveu. Il n’avoit rien de nouveau

    mieux et don monsieur d’Hourche et moy nous servirons

    voudrey tacer le peis de

    aura mal son deu. Mondit frère de Piegon

    qui touttesfois, comment vous dira monsieur d’Ourche bien

    scu de nouveau, je me vois finer la presante

    barau, ce que navois jamais veu,

    Je remets toutes autres particularités à mon nepveu

    qu’il estoyt à doubter qu’à la longue l’on en

    [f° 212] an aller audict Vallance, où je m’attandrey

    gentilhommes de leur religion avoint fally à estre tués à Valence,

    et longue vye, me recommandant très humblement à voz

    Je vous prye me tenir advertye tant que porrés de toute la

    compagnons, se portent très bien et ne paroit rien

    madame de Gordes et du reste de sa compagnie,

    propos que dedans. Jescrips à monsieur de Rousset

    si près, que cellon les nouvelles que en a heu son

    comparues, mais l’on ne scays encores ce que sera advenu

    maux passez. Dieu leur en

    Vostre très humble et très hobeyssant

    à cause de quoy je feis soudains escarper ladite terre jusques au

    trouvée faulce par la visitation que feust faicte des

    monsieur Bellievre me demandat si ledit sieur de Monbrun ne

    XXIIIe du passé, je rendz graces à Notre Seigneur qu’estez tousjours en

    de les entretenir, et ce pendent, Monsieur, je vous prometz que

    reduire à l’obeissance de sa magesté. Je ne fays doubte qu’il ne

    serviteur

    volonté vous gratifier. Je le poursuivrai, mais

    Monsieur, j’escrips au roy ; s’il vous playt prandre la peyne de voyr les

    les letres et memoyres qu’avons faict dresser

    de treuver s’il n’est parlé comme oppinion du monde

    soit très necessaire pour les affoiblir et pour veoir cependent

    Et celuy qui est à Grenoble a soubstenu, comme appert au procès que

    despuis cinq ou six jours, il garde la chambre pour

    lesquelz creinhent ne pouvoir obtenir rémission de leur deshobéissance.

    ce n’est pas peu eseuré pour vous. Si vous pouvés m’escrire

    envers elle, si elle a quelque conficture de reste, je

    despêche à monsieur de St André et à mes filz et

    mes semblables recommandations à leur bone

    espose de Jésuchrist, le commande, yl fera beaucop

    Vostre très humble et hobéissante

    lieux vous semblent, et au sieur Ludovic, propres ; et vous supplie

    l’avé à ce besoing de luy que l’et

    entendrés par la responce que l’on vous fera

    fairés bailler m’en faira telle et si raisonnable condition

    l’ung ny l’autre. Mon nepveu vous escript la

    en ce pays pour s’entretenir que sa chanoynie. Ce

    avoyt demandé Saint-Pierre de Bonevaux, Monseigneur la faisoit

    si bien fachée et en a esté malade.

    jour de decembre.

    pour une armée. Au demeurant, monseigneur, puis squ’il

    et espère en aurons pied ou elle estant bien marry

    ceste nuict passée, on a envoyé quérir le sieur André de

    ans, que on ne tient jamais promesse en ces guerres civiles, et ha l’on

    So. de Boczosel

    puis l’affaire de St Sernin m’ha long temps tenu

    dourches

    Votre très humble serviteur

    du pays et nest que pour garder sa mayson et

    je prie Dieu vous donner

    et des conduicteurs des munitions dartilherie. Lons

    de La Roche notre frère, sil est enquores avec vous,

    à vous bones graces et prie Dieu vous donner,

    graces et celes de madame de Gordes de mes très humbles recommendations.

    et moy nous parlerons à bonheure et selon le temps que

    du tout mettre par terre à cause de ce quils

    qu’il n’a faict et pendant son sesjour en ce cartier, monsieur

    obeirons.

    le Createur quil vous done en parfaicte santé très longue et très heureuse

    monseigneur, qui vous doinct santé, très heureuse et longue

    ont esté au camp et monsieur de Biron et monsieur le comte

    et très bonne vie et longue. De Lauriol, ce

    foys autant ^ [^ de temps] quelque comodité que on leur done. J’ay veu à quoy vous en avés esté, et

    enfoncé. Les soldatz qui firent l’exeqution demenrèrent

    doubté de votre bonne

    qu’il ne faict et qu’il y a tant de bled

    nomé le cappitaine Baron, qui voyes n’ayes oppinion que ledit sieur

    Je ne scay si mondit sieur de Montmorancy aura suivi

    Votre plus affectionné parfaict et meilleur amy

    quintal de poudre et autant de plomb.] Le dit sieur m’a asseuré que les femmes des rebelles

    du cousté de Bourdeaulx avec darmes. Jay faict

    gouvernement et y empescher toute eslevation qui y est à craindre

    mes estatz, que je ne scay plus où jen suis, et toutesfois,

    encores contre le roy, mays sus tous ledit La Roche feignoyt

    conservation de ceste province. Jemployeray le seigneur

    plus de besoing de se rassembler et reconcillier par ung bon

    demonstration au seigneur de Maubec qui en est honoré et

    Charles

    Charles

    des villages dauthour jà abatus de la

    service de sa majesté ; ce que ne vous avons voulu cacher, comme [barré : de] celluy de

    notre premier huissier ou sergent que, à la requeste

    Sadite magesté a ordonné pour sesdites affaires audit sieur de Suze de

    pour le service et soubtien de la quele je veulx employer

    pleysir an ourdonner, atandu la petite prise que a esté

    extremité, à quoy vous prions pencer et y tenir

    et Claude Pealla du lieu de Venteyrol, tesmoins à ce requis et appellez.

    auroyt et les ayant receue, je ne fais aulcun doubte quil

    dissentions civilles que moy qui nay dissention avecques personnes,

    de la volunté et

    gaigner les pardons à Notre Dame ; et parce qu’on ne les peult

    avec monsieur de La Coste, men retourner deçà.

    prince de Navarre, sest faict ouyr de leur part

    des grandz banastes que nous y aurons

    Bellievre

    se parle fort pour la desserte des guerres civiles

    [barré : le] et dict que monsieur ladmiral y devoyt arriver ce jour

    dame y presente, pour tesmoingtz Anthoine Boullion, escuyer de

    ceulx que le pape y a commis, toutesfois, le roy faict estat quelles

    aviés tesmoigné, y adioustant autres part

    respondrey quil aura son nombre complaict et que je luy servirey

    J’ay recouvré l’aleman et mande au roy. Mais je vous supplie, monseigneur

    presentement ; et pour la reffetion des murs de Valence et de Romans, il ney

    P Gratet

    [fol. 31 r°]

    Vostre très humble filz et à jamays très

    marys, mays je croy que lung ne laultre nont trouvé le secret

    ou parens ou aliés. Je vous mande le double du

    mande ladite commission et lattestation que lesconsuls

    ce Ve febvrier 1574.

    monseigneur, vous donner en bonne santé

    ruyné [barré : et la plus part] et le couvert naiste jusques aulx murailles

    receu votre

    et le Moustié. Quand au marchant que me mandés

    et que parlant monsieur de St SUplice en plein conseil

    [171] quon scait assés comme on ne se peut ayder

    D’Apt, ce XI febvrier 1574.

    intention ; et pour le regard de largent don vous

    pressé de vous faire tenir la presente

    de fornir le pay

    de ceulx de Tresves[barré : quont] ont esté pour surprendre le château

    Monseigneur, je prie le Createur vous donner en parfaicte prosperité

    à present retenus [barré : avec] ayant leur retraicte à Dieulefit ou le Pouyet de Laval qui sont de deus grandes ou

    P[hilipp]e de Lyon

    très humble recomander à vous bones graces et prier Dieu vous

    au dit gouvernement a esté mal à propos pour les

    et très obeissant serviteur

    dudit lieu, gens de maison que

    mays quele fut

    en priant nostre seigneur qu’il vous done

    au pays de ne haster pas fort la levée. On dict

    conseil a esté tenu tout ce matin. messieurs les présidans et echevins de la ville

    sur non sur la particulière volonté du roy, mais sur

    sera demain ici pour le recevoir dans le Louvre.

    de La Coste

    Dieu

    Une partie viendra assaillir la coste de première, l’autre servira en Flandres.

    votre très humble serviteur

    incapable, nesciens discernere lepram a non lepra. Après quelque

    où l’on faict ung grand discours du réachapt que l’on a

    XXe juillet 1572.

    fit du cabinet du roy, elle advertit monsieur d’Hourche,

    particulière à chaque poinct, car autrement nous

    faict vuider le plus tost qu’ilz ont peu, se résolvantz quoy qu’il en feult

    avons les mesmes nouvelles à mon advis que vous devés

    longue et heureuse vye, avec tout contantement.

    à ce quil me dit. Je le remercieray de vostre part

    ce pendant.

    moins, les gentz darmes de ma

    et moy avons requis il y a plus de troys sepmeynes

    ost, tiennent le tout pour faulx et calomnieux, aussi

    par mes très humbles recomandations à vous bones

    peu rasins ou [au ?] Contat. Ma jambe est

    de La Coste, mesmes de la santé de mon nepveu,

    veint à ce que nous veoyons et que cela vous altera vos amys.

    recepvoir vous commandementz. Priant Dieu,

    où ilz s’estoint assemblés pour ung appoinctement, ce que s’est despuis

    bonnes graces. De Grenoble, ce XVIIIe daoust 1572

    troppe et de l’arryvée de Laval et d’Evènes. De Gargas, le

    a leur visage. Je nai enquores veu leur maistre.

    priant Dieu vous donner

    par ma precedante depêche, le priant de trouver

    [318] Altesse à qui je fus baiser les mains à Turin,

    et le Turc est bien fort nonobstant sa dernière perte.

    doint la grace. De Suze

    filz et serviteur à jamays.

    roc bien neuf grand piedz de profond, de sorte que, à mon

    prisons par le sieur de Veaulne et les quatre cappitaines

    se voudroit pas faire catholique, que fut occasion que je

    oppignion de faire partir noz enfens et de les suyvre et que les choses

    je perdrey la vie dens la ville ou je la guarderey à sa

    vous advertisse encores plus à pleyn. Je vous envoye une letre

    F. de Lacoste

    tout va tant à la longue que c’est pitié. Le

    lettres, et sy le trovés bon les anvoyer hou y adjoster hou diminuer

    aux vibalifz du Bas-Daulphiné et du Boix ; si par

    ne se peult pource qu’ilz ne s’accuseront l’ung

    leur contenence, pour cella ne se reduyront jamais, d’autant

    l’on luy a présenté d’argent de la part dudit Aubert pour soy desdire

    metre sa jambe dans le mar, don espère se

    Ce pendant, il [barré : nous] doneront de la peine d’espérer et en dangier de fère

    comme vous estes, mais vous santant si seul, il me samble

    la supplie en faire part à madamoiselle de Chastelar

    fille sa mere qui me gardera leur escripre maintenant.

    grâce.

    pour moy de me venyr saluer, car faut que je vous

    cousine

    en donner advis au roy ; finablement qu’il n’estime

    toujours pour vous à vous fère servyse é que

    par votre laquay. Je présante mes plus

    que je pourray m’en contanter. Si je suis frustré de

    résolution qu’il peult tirer de monsieur le prince pour la

    que j’en dye n’est point pour aulcune affection que j’aye à

    donner à monsieur du Gua, n’ayant, dit-il, entendu

    Votre très humble et très obéissant

    vous plest que je vous face antandre des nouvelles que

    que l’ons ne peusse quelque chose de meilheur pour vous.

    Birague pour le dépêcher en Piedmont. Si cela est, nous aurons

    tousjours quelque prétexte de s’en départir ; de sorte, Monseigneur, que il me

    à l’heure. Je leisse le brevet entre les meins de

    de Buffevant

    faict contribuer ung paouvre villaige qui

    monseigneur

    me assure qu’à Chateleraud, Poitiers, Niort et autres

    nobliant ausy monsieur de Rousset, quand luy escriprés.

    monsieur, de santé heureuse et contante vie. Du camp

    Jen dis de mesmes à monsieur de [Burache] et prie le Createur vous

    demurerons en ce lieu où la despance est excesive

    furent attaqués de façon quilz furent contrainctz

    de Savignac est arrive avecq ses trouppes en ce camp et

    Vous très humbles et très obeissantz

    vie. De Lyon, ce premier jours de Mars 1573.

    vie et à moy ce bien que de vous demeurer très humble

    de Retz dans la ville. Je n’ay poinct heu de nouvelles

    Ve de mars 1573

    depuis mondit sieur le mareschal ecrivant aux gentilshomes, j’entens d’une bone partie, nous en

    bien une heure, mays jamays homme ne sortit dudit Pouzin, aussi

    volunté. Vous verrés

    d’avoyne et de foing qu’ilz me vouldroyent

    de Roysse remue en aulcune fasson et qu’il n’en fault doubter.

    le roy au partir de St Leger. Je vous ay escrit

    H de Montmorancy

    hont advertissement de ceux qui sont en Vivarez de vendre toutes leurs denrées

    [f° 11] sergent major ce gentilhomme que porta les

    je demeureray assés satisfayct, syre, pourveu que

    davoyr receu lettres comment le prince d’Auranges avoyt deffaict

    d'Ourches pour commander les gens de pied ; et par ce

    accor que de ce [barré : devenir] desunir et deviser par procès et

    au quel javoys escrit comme aux autres, et tant sen fault

    de neufville s[ecretair]e

    De Neufville

    pouvretté de la sayson passée et que

    lamytié duquel faisons autannt destat que du seigneur qui soit en France ;

    de lexposant, il adjourne ladite dame Guigonne

    sayder des compaignies dordonnanses de monsieur le mareschal de

    Du XIIe dudit mois

    ma vie et ma personne comme aussi par linstante

    an ce peys et aussi le brulement des greins dessquelz

    la main, car aultre moyen navons faire

    Donné comme dessus, de moy, Claude Martin de la

    nescrvit de la bonne encre à cedit gouverneur qui me

    nous serions bien tost en bonne paix, de laquelle ne sortirons de

    connsentement de

    gaigner sans faire penitence, si vous ne la faictes par les

    Je pançois bien faire seiour quatre ou cinq jours

    ce jourdhuy. Demain, on pourra scavoir que cest. Il est

    pour les bestes. Quant aux petites

    [125] depuys monsieur le president de Portes

    dune pour le recouvremenr du royaume de Navarre

    là, quil y avoyt veu Teligny, La Noue, Briquemaut

    Virieu en Daulphiné, maitre Benoict de Fillion, notaire de Torchefelon

    y entreront. Je nay poinct de nouvelles de mondit sieur de Gordes puis ma depeche

    que madvisay plus à propos, lons ne peult particulie[rement]

    de commissaire et contrerolleur ; et au surplus quil ne se fera

    pour certains respectz que cela ne soyt communiqué. Par là, on peut comprendre

    pas donné grande esperance den obtenir quelque bien fait du roy ; bien est

    bource, elle nous est plus que necessayre. Je veis

    hobeissant serviteur

    de la noce. Le plus grand inconvenient qui puisse advenir

    brevet à celle fin que au plustot le mandiés communiquer à

    que mestoyent bailhés pour forme ont faicte. Vous

    Vos très humbles et très obeyssants

    très bonne et très longue vie. D’Exilles,

    qui ne sont remparés que de pierre sèche ; et auparavant, il estoit du

    lettre et suis

    quest prisonier à Vitrolle, le consul d’Embrun ma dict

    à ceulx dudit lieu de la part du roy, quayant

    dune trouppe de Suisses quen une pièce et

    [autographe] Monsieur, vous serés adverti du bon portement de mesieurs voz frères et

    escriptz cy dessus de ladite demye monstre, je men remettrey

    avec le pacquet de la court, mais

    ement du moys

    de La Motte et despuys la ville d’Embrun, comme est par

    et santé, longue et heureuse vie. A Grenoble, ce XIIIIe fevrier

    troys petites luees dicy ; aussy que de ce temps là, ilz avoyent occupation meilleure au Contat, de laquelle ilz sont

    Berthorye

    donner,

    affaires du roy et de son peuple. Je me doubte

    De Simienne.

    navoient jamès estés huguenaux,

    bien observée,

    Monseigneur en toute prospérité très longue vie. De Montpellier,

    touttesfois qu’il se lève grand force en l’estat de

    appelés, ce pourroit bien estre pour les finances ; toutesfois, ie ne scay si ce seroit

    le sage advis de son consel, par lequel sa maiesté

    On déplace dans le palais pour l’occasion des nopces.

    Monsieur, jescry de par monsieur le conseilher d’Ayme qui a couché icy et va ce matin

    Monsieur, qu’il vous aye en sa garde. De votre maison

    D’Anvers, par lettres du XXVIIIe du passé, le duc de Medinacely estoit arrivé à bon port

    Lestang

    temps, se sont acostés d’ung apostat et par conséquent excommunié,

    voulu faire de la terre de Mornas. Autre chose

    Votre très humble et hobéissant

    qui estoit attendant, et le remit à monsieur

    disons en ung mot que tout cela est faulx et calomnieux.

    d’aller courir fortune en quelque lieu, puysqu’ilz ont embarqué tant de gens

    avoir, hormis que lon dict que le roy de Navarre se doit

    A Paris, ce 26 julhet 1572.

    de ce quil ha fait pour mon nepveu, comme je

    Je vous ay escrit du XXVe brefvement de la reception

    compagnye estant à la ve[i]lle den avoyr affère,

    et par plusieurs foys ledit sieur de Montguers et le

    ce temps seroit trop estrange s’il en alloit autrement.

    graces et celles de madame de Gordes, laquieulle

    fermée, le soir la trouve ung

    de laquelle il vous tesmoignera, et [barré : ayant] à madame de

    Mais il semble que c’estoyt une chose fauce. Je ne croy pas que

    Monseigneur, vous avoir en sancté très heureuse et

    publié par ceste cour. Je leur ay respondu, et à ceulx qui

    Vostre très humble et hobeyssant

    XXe aoust 1572.

    Je luy parleray pour les loger au college comme mescripvés

    monsieur, en santé contante vie. De Paris,

    quelque moien de prouvoir dargent à ses enffans

    se tirarent canonades les ungs aux aultres,

    Les soldatz françoys s’en reviennent tous bien pouvres et

    le seguond doctobre 1572

    Hourche

    jugement, la muraille en est maintenant hors d’eschelle.

    lesquels ne treuvarent dans lesdites prisons que les armes

    remonstroys à la royne que, si le roy en faisoit ung commandement

    soent en bon estat en Daulphiné. J’ay aussi veu la lettre que vous a

    majesté ; et à vous, du chasteau, je vous en respons. Je me

    de monsieur de Montfort, seulement à fin que voyés les beaux

    Sans ladvertissement du desus dudit seigneur monsieur le Conte mon filhs de

    temps est si bel que tous les jours

    ce qu’il vous playrra, pour mon signet n’estre fort reconu. J’escris

    fortune lesdits sieurs s’estoient departis de vous, il

    l’autre, et aussi si je doibz aller prandre

    que leur valée est attachée aux valéez d’Engrongne, de Saint-

    et varier de sa dépposition, ce qu’il n’a vollu fère, comme il soubstiendra

    trouvera bien. Mon nepveu Baltezar ce porte ausi, et

    susciter par deça ou [barré : par] en Dauphiné ou en ce pays, quelque trouble,

    que j’oys tousiours dire quelque révolte que Dieu

    ma mère.

    Il vous playrra qu’il entendent par la présente nostre bon porte-

    [197] Enfin, ceux de Nymes sont contens (se disent-ils) d’entrer en conferance

    dye que je suys tant aselgye que n’et posyble de puls,

    Lucrèce d’Antiboul

    pas que ceulx qui tiennent la poste en ces vallées

    vous pensé quy soyt toujour quelqung de

    humbles recommandacions à vos bonnes grâces et

    mon espérance, Dieu me donnera pacience et me faira

    chatelenie de Grane. Il se porte bien et mon

    l’endroit de mondit sieur d’Aiguebelle et vous prie,

    que cella toucha à monsieur de Saint-Jehan. Je n’en vis

    serviteur. Bellievre

    je scauray, il ce dict icy que Monsieur, frère du roy,

    Il y en ha qui hoint opinion que les affaires de La

    peut-estre regret à la mort des huguenotz et d’avoir

    semble estre bon d’y estre fort ententif, spécialement jusques à ceste

    monsieur de Chatellart qui provoira ces devent

    s’appelle Sainct Saulveur de la terre de mondit

    [barré : liues] lieus, Monsegneur cest trouvé ataqué de quatre

    Votre à jamais très humble et

    de Nieul près La Rochelle, ce XXIII febvrier

    doner,

    et acroyt journellement. Nayant autre à vous dire,

    [177] se retirer. Toutesfois, je pence à ce quilz mont

    de jour mesmes monseigneur le mareschal faisoit battre

    serviteurs les consuls de Dye.

    Madame de Gordes verra icy si lui plait mes très humbles recommendation à sa bone grace.

    serviteur. A Dye, ce IIIe de mars 1573.

    de messieurs d’Evènes et de Laval puis celles que je vous

    Vostre très humble serviteur

    sommes comme dict un vieux historien Illis temporibus fortius boni pro libertatem

    estoyt ce de nuit. Je receus par votre corrier les lettres qu’ils vous pleut

    ce que j’ay respondu

    feit croyre à l’italienne que le ratelier

    Je le vis dernierement à Saint Gervays, quy m’en dit aultant

    du IIIIe de ce moys comme ie feray aussi tost que

    et aucungs de la religion n’ont voulu entendre à negociations fort avantageuses.

    lettres à Grenoble à votre seigneurie,

    vous soyés mestre de La Rochele, car cest de là

    le duc d’Albe ; que ledit seigneur mareschal venoyt pour faire copper

    [barré : sire de Valence le XIIe de juing 1573]

    querelles, ce que je vous supplie très humblement prandre en

    quil soyt venu quil na daigné men fayre ung mot de

    navoient ceste isy recuillis que ung

    et protestons, au ca que cella advins, que la faulte ne procedera de nous,

    de Laval ou ses hoirs et tous aultres que

    Retz, du sieur de La Tour et de la sienne, ensamble de tel

    Clarieulx et Chantemesle : Vim p. VI p. v f : IIIm pains

    prière que jay heu des Eglises du Languedoc de me

    pourrions avoyr faulte si les affaires tumbiont an plus

    venir advivres en ce lieu, estantz ainsi

    ville de Nyons, catholic, notaire royal delphinal, ce

    dellivreroyt et au partir dicy avec voz genlz, je men iroyn de part

    [224] noz vies. Je suis en grande peine de mon nepveu, lequel nest encore arrivé et sont

    monsieur le prince

    chemins, vous la ferez sur le lyeu en une maison qui est

    avec monsieur le comte, mais il prent le chemin

    quelque bruict que ceulx de la religion veullent

    banastes quil nous fault, jen

    ma envoyé le pacquet cy encloz. Monsieur

    quil avoyt esté ung temps quil ne se parloyt plus

    et aultres de la religion, que quelques [barré : cho] bruictz

    audit pays de Daulphiné, soubz signés en loriginal des

    par monsieur le contrerolleur Lyonne sur ce poinct comme monsieur de Vennes [d’Evènes] a debattu

    rien scavoir de la casseure des compagnies dhomes [et)

    aucun abuz pourveu que les gens que vous envoyerés veulent

    que cest que les princes ont en la teste. En somme nous en sommes tous

    il dit que si les habitans veullent augmenter leurs deniers communs

    prier le Createur par sa grace nous y acheminer ou bien

    hourche

    est que tous les vins vieulx de ceste ville sont cy caichés quon

    Grenoble au tresorier qui a en mein les XXXm lt, [à celle fin]

    plairra m’honorer en ce faict et me doner advis comme

    serviteur les consulz de Gap

    ce VIIe febvrier 1574.

    tout fort beau et abitable où les officiers abitoyent et les

    aussi marry

    quil a esté mis à rançon et quilz estoyent prest à luy porter

    achevé sa harangue, ung marchant va dire quil se

    sans les separer ; et [barré : de] si les mectant tout

    principalement de votre petite trouppe qui est tel que vous pourriés

    antieremant à ce que sera de votre bonne volonté, laquelle

    ce sera par ledit pacquet.

    prochain et

    sa confession, et pour quelque debat et querelle quil heust

    1574.

    frustrés pour le jourdhuy, car il ny a plus à prendre aulcun bestail, si ce nestoit la crainte que

    monsieur, en parfaite sainté heureuse et longue vie.

    plus tost quil ha opinion que le peïs aie mandé des

    nommés ung Bayard et laultre

    ce quele na

    le 17e juin 1572

    Milan. Monsieur de Bellegarde part dans deux ou troys

    aussi sur des nouvelles qu’on dict qui sont venues auiourdhuy de Flandres, que le

    se conduira du tout en cest affaire. Si semble-t-il

    Sur l’estat du trésorier, i’ay veu monsieur d’Evènes

    doner le bon jour en passant à madame de Caseneuve et monsieur d’Apt pour

    de Montoyson, ce XIIIe de juilhet 1572.

    avec environ six mil hommes et s’en alloit joindre au duc d’Albe, qui estoit devant Mons,

    cordelier de Moiran, lequel y est encores à mon grand regret.

    n’en say-je.

    Serviteur

    Brulard, qui en avoit heu le commandement.

    La novelle que vint hyer matin de la deffaicte du

    avec eulx ; et pour cette occasion en est désja sorti neuf. Mais je ne

    déclairer chef des Françoys que y vont, en quoy il y a bien

    Vostre très humble et obeyssant

    feis très humblement de la bone voulonté quavés

    de voz lettres du X et XVIIe. Je portis aussitost

    parquoy je vous manderey que je naie autres

    sieur de La Bastide, lieutenant de monsieur de Chastelar

    Je layray ce propoz pour vous dire comment monsegneur

    sil luy plait, mescusera si ne luy escrips à ce coup.

    peu enflé. Ie pars pour Gargas et

    Gordes ausy, quy me gardera en escripre et vous faire

    les complaignans tendent d’avoir ne monsieur de Maugeron, ne monsieur

    longue vie. D’Anneyron, ce XIIII aoust 1572.

    men parlent, que ceulx de Valence ont heu quelque occasion de

    Serviteur

    Vostre mère Pierre de Pontevès

    et poursuivray tous vous affaires le mieulx

    ce XXII 7bre 1572

    et ne se fier plus tant à ses amis quy prenoient

    et par la relation qu’a faict despuis ung de

    malades et beaucoup y sont demeurez. N’ayant autre chose

    Incontinant que je receus votre premiere lettre de la mort de feu monsieur l’admiral, je despechys

    Hier au soir nous eusmes encores ung allarme de quelques

    du geolyer. Mais le bruyt de ladite calumpnie

    general, que ledit sieur de Monbrun et plusieurs autres y pourroint

    escript leur maj[es]té ; j’ay aussi veu celle que vous escript

    suys aussy dispencé, Monsieur, de fayre à ce matin

    discours qu’on faict à l’italiene du rebourcement de chemin

    la Coste de Bausmetes et nepveu de Biceus car le père est encores ung peu faché encores quil vous en a mendene choses Ien. Vous le trouuez ce jourdhuy

    l’ons va à la chasse ou voir les plus belles maisons

    aussy à monsieur de Birague. Il vous

    vous plairra ouvrir leur letre et voyr ung desdits

    des ministres, ce que je ferey, Dieu aydant,

    Martin et Luzerne, subgectz à son Altesse, qui ne larront pour

    par devant mesdits segneurs. Et quant aulx aultres, je ne les aye

    ses compagnons, très bien. J’ai fourni à monsieur Besson

    combien que persone ne bouge de ce cartier que jaie entendu jusques icy.

    ne veulhe. Monsieur Belieuvre est despuis V jours parti pour

    ment et que ma femme se renforce tout ardament. Le demeu-

    avec moy. Nous sommes après à l’acheminer. Je scay que c’est fort

    me voyant se [...] troys de voyes et menés, le voyant

    Je vous supplie très humblement

    facent faute au service du roy, non obstant leurs

    vostre companye, de quoy je vous prye

    à celles de madame de Gordes, priant

    la grâce de dire dominus dedit, dominus abstullit, sit

    nepveu Baltezar et tous ses compagnons, Dieu merci,

    monseigneur, ainsi le droire come la véritée est telle ;

    jamais tant donner que despuis quelque temps,

    Madame de Gordes et monsieur de

    partira pour certin pour s’en aller à La Pochelle pour le

    Rochelle s’accomoderont à l’amiable, avant que Monseigneur y

    laissé passer les beaux moyens et grandz advantaiges que

    prime vere que l’on porra mieux découvrir leur jeu et leur dessaing ; or n’y pouvés-vous

    à tout selon ce que manderés estre de besoing.

    sieur, qu’il contrainct à luy fourny toutes les sepmaines

    à cinq mille pouvres ^ [^ en troupe] crians à la feim et quil a fait

    très obeissant frère

    1573.

    monsieur, très bone, longue, heureuse et contente vie avec

    je menvois très humbelement recomander à vous bones graces

    asseuré que lesdits cabries ne leur pourroint plus

    la ville de Sommyères de six canons et de deux collovrynes

    Chazency Consul

    Jescris un mot à madame la comtesse de Grignan quil vous plaira

    Votre très humble et très hobeyssant serviteur

    ay cy devant envoyées. Les escholiers se portent fort bien.

    Rousset

    loquebantur quam pugnabant. De nouvelles je ne scay rien adjoincter à

    m’escrire qui arriva le IXe de ce moys vers moy, mais monsieur de

    aux articles qu’il

    est trop hault pour mes chevaulx touteffoys

    lequel je croys, mays comme que se soyt sy vous advés la forsse

    ce sera à Fontainebleau et pendant ce, priant Dieu,

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    et le paye sur ma compagnie. Les consulz mont

    dou deppend le repos de votre royaulme. [barré : jentens que

    la gorge à ceulx de la nouvelle oppinion. Brevement, monseigneur, il

    sire, que jey entendu que le filz du baron des Adrés

    bonne part et comme procedant du zelle que jaurey toute

    responce ni descuse. Au reste, syre, on faict courir le bruit

    peu de blez, ont estés mis à sac

    mais de ceulx qui representent la personne du roy, à faulte davoir donné ordre

    besoing sera à comparoir à jour certain et competant

    nombre de gens de pied quil jugera necessaire des peys circonvoysins,

    transporter vers eulx le plus diligemment que je

    grande long[u]eur. Messieurs d’Aiguebelle, mes cozins,

    parquetz de lennemy, si bien quil ny a

    recepvant et rien retenu soubz[sig]né

    devers vous pour vous monstrer au doigt et metre toutes

    jà passez XXIIII jours quil est reparty. Je nay jamais senty printemps

    votre frère et

    votre et là où vous avez toutte puissance et sur tout ce qui

    de Marignane et Marselhe où je ne me suis venu

    embarquer le roy en une guerre estrangère et que le

    ay achepté en ceste ville, lesquelles

    de La Motte ma dict quil sen alloye ceste

    du mariage de Monsieur en Angleterre, mais que ledit

    que nous ayons faict par deçà on ne parle en cour que de faire

    presentes, ledit Gontier ne scachant escripre comme a dict,

    au roy que le Contat ne vouldroit pas recepvoir lesdites compagnies. Sa majesté

    des gens de pied. Je ne men peine pas beacop ; et

    croire mon conseil et que jespère quil se fera de belles

    [f. 50] lougés là que chacun pense qu’avec la religion va lestat, [, et son particulier]. Jay les mesmes nouvelles

    à cest[barré : e] effet ou de nouveau ietter quelque chose sur eux, que le roy leur

    les vostres à y reduyre lennemy avec tel zèle que chacung

    [77] je masseure que dans le paquet de Crillon, il y avoit des lettres de monsieur de Laval. Dieu soit loué quyl [barré : (que) ledit sieur]

    nen peult plus trouver ; et le malheur est que je ne me puys

    quil vous favorisat, si tant est que lons ny asignat

    arey à me conduyre. Le sieur de La Motte qui commande

    Cl Rambaud s[ecretair]e

    Monseigneur, escripvant la presente, jey receu

    rantiers retiroyent leurs grains.

    que vous de

    argent. Je vous heusse escript toutes choses

    souvenoit dun latin qui disoit : « fistula dulce canut

    ensemble, ils ny pourroyent estre menées

    soubhaicter. Il vous dira aussi lesmeute et inconvenient qui cuida

    jensuyvrey non seulement [barré : ma] en ce, mais aussi en tout

    Pour vous humbles et pouvres

    que vous estimés

    avecq certains desdits soldalz comme il dict, se retira du costé de deça

    Votre très humble et obeissant

    jay que ce dit desfault ilz ne fassent la guerre à celuy dycy et de ces envyrons. Je [barré : vous] ne vous

    De Paris, ce XVIII febvvrier 1574.

    informations, il ma dit une demi douseine de fois

    Jehan Bonneau.

    pas esté cy devant,

    chose ne me sera

    jours, je nentens pas pourtant que vous entriés en despence

    imputée pour la

    et si vous y despendés, je le veulx suporter ; et sans bien grande

    garnison de Die,

    occasion ne debvés estre si mauvays, mais que de leysser ma

    et si votre receveur

    demoysele de Briansson pour aller coucher en ceste vieille

    m’envoye ung estat

    chambre si non que ce fut la visitation de loncle. Si vous aviés

    de la [barré : mise] recepte

    veu les six arquebusiers et le porteur de perche, je le croyrey,

    et despence, je verray

    mays vous conoyssés le soldat ; ce fut neantmoings bien fayre

    bien ce qui aura

    de metre la muraille [barré : en cest endroyt] ors deschele. Quant

    esté despendu par

    [barré : qu] à lalarme que vous eutes le premier de ce moys dune

    mes ordonnances ;

    douzeyne darquebusiers aux centineles de la ville, je ne puis juger

    et quant aux VI m[ille]

    par ce que nen escrivés si de la vile on les tyroyt aux sentine-